Parution : Néo Santé, n°108, février 2021

Nouvelle parution : “La vitamine D, bouclier anti-Covid par excellence”, Néo Santé, février 2021, n°108, p. 24. On n’a probablement jamais autant parlé de la vitamine D que depuis le début de la pandémie de Covid-19. A notre connaissance, c’est même le seul micronutriment dont il a été question, et comme celui-ci est aussi un élément de base de l’alimentation “paléo”, cela valait bien un petit éclairage.

Dès mars/avril, des médecins commencent à alerter quant à un lien entre les formes sévères de Covid-19 et la déficience en vitamine D. Plus récemment, en novembre 2020, et en Belgique, l’hôpital de Roeselare publie un communiqué sur son site internet, affirmant qu’une déficience en vitamine D peut être un facteur de risque aggravant lors d’une infection au Covid-19… Différentes recherches sont venues confirmer la corrélation sans nécessairement valider la causalité. Mais on sait que la déficience en Vitamine D est également liée à tout un ensemble d’autres facteurs, eux-mêmes liés au Covid-19 : surpoids, obésité, inflammation chronique, vieillissement, etc.

Le point à retenir : quel que soit votre opinion sur le Covid-19, vous ne savez pas vous tromper avec un mode de vie sain, consistant à passer du temps à l’extérieur, et avec une alimentation saine, intégrant des poissons gras, et évitant les aliments riches en fructose. Surtout si vous êtes à un âge où votre peau produit moins de vitamine D. Tout cela vous amènera un taux de vitamine D raisonnable, un système immunitaire plus fort et moins de risques de surpoids. Explication dans l’article…

⚠️ Le titre de l’article n’est pas de moi, mais de la rédaction. Je n’aurais pas parlé de “bouclier”. Le mot que j’aurais préféré utiliser est “atout” : La vitamine D, un atout en période de Covid-19″

Parution : Néo Santé, n° 16, oct. 2012.

Nouvelle parution : “Peut-on manger paléo pendant la grossesse ?”, dans Néo Santé, n°16, oct. 2012, p. 42. J’y parle des vitamines (principalement B9, B12 et D) et des minéraux (fer, calcium, zinc) dont l’alimentation paléo est plus riche que l’alimentation moderne.

Les poissons gras, riches en omega-3, sont également riches en iode, nécessaire aux glandes thyroïdiennes fortement sollicitées durant la grossesse.

Mais une telle alimentation favorise également la fertilité (chez l’homme comme chez la femme) et pourrait diminuer les risques de maladie chez l’enfant, plus tard : c’est l’hypothèse “DOHAD”, pour “Developmental Origins of Health and Disease”…

Tout cela est abordé dans l’article…