Parution : Néo Santé, n°55, avril 2016

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Nouvelle parution : “Alimentation et ulcères d’estomac, Néo Santé, n°55, avril 2016, p. 32. Comme nous le disions le mois précédent, réduire la consommation de sucre est le changement le plus important – et prouvé – pour réduire les reflux gastriques. Mais si l’ulcère s’est développé, quels sont les remèdes que nous fournit la nature ? La question est intéressante, parce que les aliments qui aident à la guérison des ulcères sont pratiquement ceux qui ont accompagné notre évolution durant des millions d’années. En fait, cet article sur les ulcères constitue un petit rappel sur les bienfaits de plusieurs aliments dont nous avons déjà parlé.

Je vous invite également à lire l’édito de Yves Rasir (rédacteur en chef). Il se fait que cet article a été l’objet d’une discussion, entre nous, sur le rôle de la bactérie Helicobacter pylori. N’étant pas d’accord, Yves a décidé d’apporter quelques nuances à mon article dans son édito, ce que je respecte totalement.

Moment délicat dans la vie du mensuel Néosanté : pour la première fois depuis sa création, j’ai failli censurer un article, celui de la rubrique Paléonutrition (page 32). Non pas que son titulaire ne soit plus à la hauteur : au contraire, Yves Patte est aujourd’hui considéré comme un des meilleurs spécialistes francophones du mode de vie et du régime paléo. En Belgique, les médias « mainstream » l’invitent régulièrement à défendre le sérieux et les fondements scientifiques de cette approche désormais en vogue. Comme il y a 5 ans, lorsque je lui ai demandé de rejoindre notre équipe, notre chroniqueur m’épate toujours par la rigueur et la pertinence de ses contributions. Il explique toujours de manière étayée comment une alimentation de type préhistorique peut participer au maintien de la santé et à la prévention des maladies, voire à l’accélération de leur guérison. Ce mois-ci encore – et c’est pour ça que je n’ai pas touché à son papier -, il expose brillamment de quelle manière on peut éviter et soigner les ulcères d’estomac par des réglages alimentaires. Bien que l’origine des pathologies se situe à nos yeux dans le vécu psycho-émotionnel, nous pensons toutefois que la façon de se nourrir revêt une certaine importance. Et particulièrement lorsqu’il s’agit de troubles digestifs. Mais dans son introduction, Yves Patte s’écarte résolument de notre ligne éditoriale en attribuant la causalité des ulcères gastriques à la bactérie Hélicobacter pylori. Je ne pouvais pas publier ça sans apporter quelques nuances.” Suite dans la revue, p. 3…

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