Parution : Néo Santé, n°128, décembre 2022

Nouvelle parution : “Le Miel, cet alicament naturel”, Néo Santé, décembre 2022, n°128, p. 24 : Voici un article pleinement de saison : je parle ce mois-ci dans Néo Santé des bienfaits du miel sur les maux de gorge ! 🐝🍯

Je ne comprends pas qu’en plus de 10 ans dans Néo Santé, je n’avais jamais parlé de ce produit naturel, dans notre alimentation depuis la préhistoire… et que j’affectionne tout particulièrement !

Le miel n’est pas qu’un remède de grand-mère ! Des recherches se sont multipliées et convergent vers le fait qu’une simple cuillère de miel avant d’aller au lit diminue le mal de gorge. Face à certains médicaments vendus dans le commerce, le score du miel est même meilleur !

Cet article fait le point sur la question, et sur les hypothèses quant aux causes des bienfaits du miel !

Bonne lecture ! (en souhaitant que vous puissiez profiter du miel pour le plaisir et non pas pour réduire vos maux de gorge !) 😉

Double parution : Néo Santé, n°125 (septembre 2022) & 126 (octobre 2022)

Nouvelle parution : “Comment vieillir en bonne santé (I) et (II)”, Néo Santé, n°125 et 126, septembre et octobre 2022, p. 24 : Deux articles pour le prix d’un ! 🙂 Je n’avais pas eu le temps de partager ce que j’ai publié dans Néo Santé en septembre, donc voici les articles de septembre et octobre : tous deux sur la manière de vieillir en bonne santé !

Manger comme on a mangé durant des millions d’années ne vous rendra pas immortel. Mais cela devrait vous permettre de “bien vieillir”, ou de vieillir “bien” si vous préférez. C’est-à-dire qu’il n’y a pas de fatalité à développer tout un ensemble de troubles de la santé ou de la condition physique que l’on associe généralement au vieillissement.

J’y parle d’activité physique, permettant d’éviter diabète, intolérance au glucose et sarcopénie (la dégradation musculaire). Mais aussi du rôle des légumes, des Omega-3, de l’huile d’olive, de l’avocat, etc.

Rien de fondamentalement nouveau dans une rubrique sur l’alimentation “paléo”, mais ça permet de se rassurer : il n’y a aucune fatalité à voir tout un ensemble de maladies apparaître en vieillissant !

Parution : Néo Santé, n°124, juillet-août 2022

Nouvelle parution : “Oestrogènes : le déséquilibre qui inquiète”, Néo Santé, juillet-août 2022, n°124, p. 24 : Dans l’article paru au mois de juin, je parlais de la testostérone. Dans cet article, paru dans le numéro de juillet-août de la revue Néo Santé, j’aborde la question des oestrogènes. Et la question centrale est, elle aussi, celle de l’équilibre. A une différence près, alors que chez les hommes, c’est la déficience en testostérone qui pouvait être la cause de nombreux problèmes de santé, chez les femmes, c’est plutôt l’excès d’oestrogène qui pose des problèmes à l’heure actuelle.

Certaines études font état de 50% des femmes de plus de 35 ans touchées par un excès d’oestrogène en Occident. Les conséquences : inflammation, surpoids, problèmes de thyroïde, et certaines formes de cancer.

La bonne nouvelle, c’est que de nombreuses études montrent qu’un meilleur équilibre au niveau des oestrogènes (équilibre oestrogènes / progestérone) est facilité par… l’activité physique, moins de sucres rapides, une consommation de légumes crucifères (brocolis), et une alimentation plus riche en omega-3, en fibres, et en polyphénols. Bref, rien de nouveau sous le soleil d’une rubrique “paléo nutrition” ! 😉

Bonne lecture !

Parution : Néo Santé, n°123, juin 2022

Nouvelle parution : “Précieuse testostérone”, Néo Santé, juin 2022, n°123, p. 24 : Lorsqu’on pense à la testostérone, il y a de fortes chances qu’on pense à la virilité, peut-être exacerbée, à l’agressivité, à l’hypertrophie musculaire, peut-être même au dopage. La testostérone évoque souvent l’excès… Pourtant, cette hormone est essentielle pour notre équilibre. Chez l’homme, un bon taux de testostérone est essentiel à un équilibre entre masse grasse et masse maigre, et par là, à une bonne santé. La testostérone joue effectivement un rôle central dans le métabolisme des glucides, des lipides et des protéines.

Mais on estime, aujourd’hui, que 10 à 40% des hommes adultes présentent une déficience en testostérone. Avec une diminution du taux de testostérone de 25% dans la population ces deux dernières décennies.

Les causes ? De nombreuses études pointent du doigt la malbouffe et plus généralement l’alimentation industrielle : trop de sucre, trop de mauvaises graisses, trop d’alcool. Ainsi que le stress.

C’est ce que je développe dans cet article, paru dans Néo Santé, n°123, juin 2022, p. 24…

Bonne lecture !

Parution : Néo Santé, n°122, mai 2022

Nouvelle parution : “Pourquoi et comment courir pieds nus ? (III)”, Néo Santé, mai 2022, n°122, p. 24 : Est-ce que je suis arrivé à vous convaincre de courir pieds nus ? Je n’en ai aucune idée, mais accordez-moi encore une tentative, avec ce 3ème volet de ma série sur le sujet, publié ce mois-ci dans Néo Santé ! 😉 Et si ça ne vous convainc pas de courir pieds nus, peut-être serez-vous tenté ou tentée de marcher pieds nus dans la nature ? ⠀

Pourquoi ? Parce que ce contact entre notre corps et la terre apporte de nombreux bienfaits. C’est d’ailleurs quelque chose que nous avons connu durant des millions d’années, et que nous avons récemment complètement perdu : à quelle fréquence une surface de votre corps est-elle en contact avec la surface terrestre ? A quelle fréquence, marchez-vous, dormez-vous, êtes-vous assis à même le sol naturel ?⠀

Ca peut paraître un peu mystique, ésotérique, mais ce contact direct avec la surface terrestre apporte de nombreux bienfaits pour la santé, observés par des études tout à fait sérieuses : réduction de l’inflammation, amélioration du sommeil, réduction du stress, etc. ⠀

C’est ce qu’on appelle le “earthing” ou “grounding”, et on pourrait traduire cela par “mise à la Terre”, au sens électrique du terme. ⠀

👉 L’hypothèse : la Terre portant une charge électrique globale négative, ses électrons libres pourraient neutraliser les radicaux libres de notre corps, chargés positivement, et marqueurs d’inflammation. ⠀

Et c’est donc aussi ce qu’il se passe quand on court pieds nus ! ⠀

Parution : Néo Santé, n°121, avril 2022

Nouvelle parution : “Pourquoi et comment courir pieds nus ? (II)”, Néo Santé, avril 2022, n°121, p. 24 : Deuxième volet de ma série sur la course pieds nus, que je pratique moi-même (ou en minimalistes) depuis plus de 10 ans…⠀

Position de la tête, position du buste, mouvement des épaules et des bras, pivot de la hanche, mouvement d’amorti des genoux, et légèrement élévation des orteils au moment de toucher le sol… Dans cet article, j’essaie de lister les points de performance habituels. ⠀

Et ce qui est vraiment intéressant, c’est que les conseils pour courir pieds nus sont en fait pleins de bon sens : ils s’ancrent dans des caractéristiques de notre évolution, et nous invitent à donc à bouger “comme notre corps est conçu”, ce qui est un peu le leitmotiv de ma rubrique dans Néo Santé, depuis 2011…⠀

Bonne lecture !

Parution : Néo Santé, n°118, janvier 2022

Nouvelle parution : “L’olfaction au regard de l’évolution”, Néo Santé, janvier 2022, n°118, p. 24 : Lorsque j’ai été positif au Covid, le seul symptôme que j’ai eu a été la perte de l’odorat. Pas tellement dérangeant et très temporaire, mais je me suis demandé pourquoi l’évolution avait sélectionné pour nous cette capacité à capter des odeurs, et surtout quel était le lien avec notre alimentation ?⠀

Quel impact a l’anosmie (perte de l’odorat) sur la manière dont nous mangeons ? … Et la littérature sur le sujet m’a également appris que, inversement, ce que nous mangions avait aussi une influence sur ce que nous sentions. C’est ce que j’explique dans cet article. ⠀

Et là, je termine l’article du mois de février, qui parlera du goût, sens qui nous envoie encore plus en profondeur dans notre évolution ! ⠀

Bonne lecture ! 😉

Parution : Néo Santé, n°117, décembre 2021

Nouvelle parution : “Les effets concrets du modèle paléo”, Néo Santé, décembre 2021, n°117, p. 24. Vous n’êtes qu’à quelques semaines d’améliorations significatives pour votre santé ! Et ça, c’est une bonne nouvelle !

Dans cet article, j’ai essayé de lister, à partir de la littérature scientifique disponible, quels sont les effets bénéfiques pour votre santé d’un mode de vie plus naturel, inspiré de celui de nos ancêtres du Paléolithique. Et cela de manière chronologique :

  • Après quelques jours, que se passe-t-il lorsque vous avez repris une activité physique ? A quel point votre corps se met-il déjà à gérer différemment le stockage du glucose ?
  • Après 2 à 3 semaines, en mangeant plus naturellement, que se passe-t-il ? Au niveau hormonal ? Beaucoup d’études ont identifié des changements importants en 3 semaines à peine.
  • Et après 3 mois ? Votre corps est beaucoup plus tolérant au glucose, contrôle mieux sa glycémie, et les risques cardiovasculaires sont déjà diminués.

Les études le montrent : on n’est jamais très loin de changements bénéfiques pour sa santé. Ce qu’il faut, c’est s’y mettre !

Parution : Néo Santé, n°114, septembre 2021

Nouvelle parution : “Paléo & Végé : convergences protéiques”, Néo Santé, septembre 2021, n°114, p. 24. Ce mois-ci, je publie le 2ème volet de ma série sur les convergences entre les “Vegans” et celles et ceux qui mangent “paléo”. Les deux types d’alimentation témoignent souvent de la même volonté de manger sainement. Le gros problème, que j’avais un peu laissé de côté le mois passé, c’est évidemment l’apport en protéines. C’est l’objet de cet article.

Quel est l’apport en protéines conseillé, du point de vue de notre évolution, et quelle a été, au cours de cette évolution, la part des protéines d’origine animale ? Je fais aussi le point sur les protéines “complètes” et “incomplètes”, et sur les associations idéales entre protéines d’origine végétale, pour avoir tous les acides aminés essentiels.

De manière intéressante, ces bonnes associations se trouvent dans de nombreux plats traditionnels anciens : riz cajun aux haricots rouges, couscous (semoule + pois chiches), etc. Et puis, il y a également la choucroute et autres aliments fermentés, ainsi que les champignons, sur lesquels vegans et “paléos” peuvent trouvent un terrain d’entente…

Bonne lecture !

Parution : Néo Santé, n°113, juillet-août 2021

Nouvelle parution : “Régime paléo et végétarisme : les convergences”, Néo Santé, juillet-août 2021, n°113, p. 24. Régime paléo / régime végétarien… Ces deux manières de s’alimenter témoignent d’une volonté de manger plus sainement. Alors au lieu de toujours les opposer, dans cet article, j’ai essayé de me focaliser sur ce qui peut les rapprocher.

Je dois bien dire que je reçois souvent des messages de personnes végétariennes qui cherchent des aliments moins inflammatoires, potentiellement, que les céréales et les légumineuses. Et à côté de ça, j’ai suivi pas mal de personnes, au niveau de l’alimentation paléo, qui désiraient manger moins de viande, souvent pour des raisons environnementales.

Alors peut-être y a-t-il moyen de faire en sorte que le régime végétarien s’inspire un peu plus de notre évolution ? Et peut-être y a-t-il moyen de minimiser l’impact sur l’environnement du régime paléo ? C’est à ça que je m’attelle dans cet article.

Attention, ça ne plaira pas aux “purs et durs” de chaque côté. J’y parle de “zones grises” et de compromis par rapport à nos ancêtres chasseurs-cueilleurs, et je me réfère à tous ces sous-groupes les “ovo-vagétariens”, les “pesco-végétariens”, les “lacto-végétariens”, les “polo-végétariens” (juste du poulet) et les “flexitariens”.

On pourrait avoir envie de se moquer de toutes ces étiquettes, mais je ne me moquerai jamais de celles et ceux qui essayent de manger plus sainement, quelles que soient les étiquettes qu’ils se collent et la gymnastique lexicale qu’ils s’infligent.

Bonne lecture ! Et gardez ça en tête : mangez sainement et restez cool avec ça. Pas besoin de devenir l’ayatollah d’un régime alimentaire !! 😉

Au plaisir d’en discuter avec toute personne intéressée ! 👍