Double parution : Néo Santé, n°125 (septembre 2022) & 126 (octobre 2022)

Nouvelle parution : “Comment vieillir en bonne santé (I) et (II)”, Néo Santé, n°125 et 126, septembre et octobre 2022, p. 24 : Deux articles pour le prix d’un ! 🙂 Je n’avais pas eu le temps de partager ce que j’ai publié dans Néo Santé en septembre, donc voici les articles de septembre et octobre : tous deux sur la manière de vieillir en bonne santé !

Manger comme on a mangé durant des millions d’années ne vous rendra pas immortel. Mais cela devrait vous permettre de “bien vieillir”, ou de vieillir “bien” si vous préférez. C’est-à-dire qu’il n’y a pas de fatalité à développer tout un ensemble de troubles de la santé ou de la condition physique que l’on associe généralement au vieillissement.

J’y parle d’activité physique, permettant d’éviter diabète, intolérance au glucose et sarcopénie (la dégradation musculaire). Mais aussi du rôle des légumes, des Omega-3, de l’huile d’olive, de l’avocat, etc.

Rien de fondamentalement nouveau dans une rubrique sur l’alimentation “paléo”, mais ça permet de se rassurer : il n’y a aucune fatalité à voir tout un ensemble de maladies apparaître en vieillissant !

Parution : Néo Santé, n°124, juillet-août 2022

Nouvelle parution : “Oestrogènes : le déséquilibre qui inquiète”, Néo Santé, juillet-août 2022, n°124, p. 24 : Dans l’article paru au mois de juin, je parlais de la testostérone. Dans cet article, paru dans le numéro de juillet-août de la revue Néo Santé, j’aborde la question des oestrogènes. Et la question centrale est, elle aussi, celle de l’équilibre. A une différence près, alors que chez les hommes, c’est la déficience en testostérone qui pouvait être la cause de nombreux problèmes de santé, chez les femmes, c’est plutôt l’excès d’oestrogène qui pose des problèmes à l’heure actuelle.

Certaines études font état de 50% des femmes de plus de 35 ans touchées par un excès d’oestrogène en Occident. Les conséquences : inflammation, surpoids, problèmes de thyroïde, et certaines formes de cancer.

La bonne nouvelle, c’est que de nombreuses études montrent qu’un meilleur équilibre au niveau des oestrogènes (équilibre oestrogènes / progestérone) est facilité par… l’activité physique, moins de sucres rapides, une consommation de légumes crucifères (brocolis), et une alimentation plus riche en omega-3, en fibres, et en polyphénols. Bref, rien de nouveau sous le soleil d’une rubrique “paléo nutrition” ! 😉

Bonne lecture !

Parution : Néo Santé, n°123, juin 2022

Nouvelle parution : “Précieuse testostérone”, Néo Santé, juin 2022, n°123, p. 24 : Lorsqu’on pense à la testostérone, il y a de fortes chances qu’on pense à la virilité, peut-être exacerbée, à l’agressivité, à l’hypertrophie musculaire, peut-être même au dopage. La testostérone évoque souvent l’excès… Pourtant, cette hormone est essentielle pour notre équilibre. Chez l’homme, un bon taux de testostérone est essentiel à un équilibre entre masse grasse et masse maigre, et par là, à une bonne santé. La testostérone joue effectivement un rôle central dans le métabolisme des glucides, des lipides et des protéines.

Mais on estime, aujourd’hui, que 10 à 40% des hommes adultes présentent une déficience en testostérone. Avec une diminution du taux de testostérone de 25% dans la population ces deux dernières décennies.

Les causes ? De nombreuses études pointent du doigt la malbouffe et plus généralement l’alimentation industrielle : trop de sucre, trop de mauvaises graisses, trop d’alcool. Ainsi que le stress.

C’est ce que je développe dans cet article, paru dans Néo Santé, n°123, juin 2022, p. 24…

Bonne lecture !

Parution : Néo Santé, n°119, février 2022

Nouvelle parution : “Le goût au regard de l’évolution”, Néo Santé, février 2022, n°119, p. 24 : Ce mois-ci, dans Néo Santé, je m’attarde sur la question du goût. Ce sens est assez fascinant : savez-vous par exemple que nos cellules réceptrices du goût sont remplacées, tous les 9 à 15 jours, pour compenser les dommages dus à la chaleur, aux frottements et aux toxines ? L’ensemble de l’organe gustatif peut être endommagé et se régénérera complètement ! C’est tout simplement un des seuls organes de notre corps capable de faire cela ! ⠀

Et même en vieillissant, attendez-vous à perdre un peu l’ouïe et la vue… mais vous pourrez toujours profiter de la subtilité d’un Cabernet-Sauvignon !⠀

Alors, si l’évolution nous a sélectionné un sens aussi durable, c’est qu’il y a bien un raison, non ? C’est ce que j’investigue dans cet article. Et on découvre des choses assez fascinantes : par exemple, à quel point le goût nous permet d’éviter ce qui est toxique dans une alimentation d’omnivores comme la nôtre (les animaux qui mangent toujours la même chose ont beaucoup moins de récepteurs gustatifs). ⠀

Ce qui est fascinant aussi, c’est à quel point ces récepteurs peuvent déclencher des réactions d’anticipation : le goût sucré déclenche par exemple un début de réaction insulinique, préparant le corps une élévation prochaine du taux de sucre dans le sang. ⠀

Et c’est aussi ce genre d’anticipations qui pourrait expliquer les nausées durant la grossesse !

Bonne lecture !

Parution : Néo Santé, n°118, janvier 2022

Nouvelle parution : “L’olfaction au regard de l’évolution”, Néo Santé, janvier 2022, n°118, p. 24 : Lorsque j’ai été positif au Covid, le seul symptôme que j’ai eu a été la perte de l’odorat. Pas tellement dérangeant et très temporaire, mais je me suis demandé pourquoi l’évolution avait sélectionné pour nous cette capacité à capter des odeurs, et surtout quel était le lien avec notre alimentation ?⠀

Quel impact a l’anosmie (perte de l’odorat) sur la manière dont nous mangeons ? … Et la littérature sur le sujet m’a également appris que, inversement, ce que nous mangions avait aussi une influence sur ce que nous sentions. C’est ce que j’explique dans cet article. ⠀

Et là, je termine l’article du mois de février, qui parlera du goût, sens qui nous envoie encore plus en profondeur dans notre évolution ! ⠀

Bonne lecture ! 😉

Parution : Néo Santé, n°117, décembre 2021

Nouvelle parution : “Les effets concrets du modèle paléo”, Néo Santé, décembre 2021, n°117, p. 24. Vous n’êtes qu’à quelques semaines d’améliorations significatives pour votre santé ! Et ça, c’est une bonne nouvelle !

Dans cet article, j’ai essayé de lister, à partir de la littérature scientifique disponible, quels sont les effets bénéfiques pour votre santé d’un mode de vie plus naturel, inspiré de celui de nos ancêtres du Paléolithique. Et cela de manière chronologique :

  • Après quelques jours, que se passe-t-il lorsque vous avez repris une activité physique ? A quel point votre corps se met-il déjà à gérer différemment le stockage du glucose ?
  • Après 2 à 3 semaines, en mangeant plus naturellement, que se passe-t-il ? Au niveau hormonal ? Beaucoup d’études ont identifié des changements importants en 3 semaines à peine.
  • Et après 3 mois ? Votre corps est beaucoup plus tolérant au glucose, contrôle mieux sa glycémie, et les risques cardiovasculaires sont déjà diminués.

Les études le montrent : on n’est jamais très loin de changements bénéfiques pour sa santé. Ce qu’il faut, c’est s’y mettre !

Parution : Néo Santé, n°116, novembre 2021

Nouvelle parution : “Regard évolutionniste sur la douleur chronique (II)”, Néo Santé, novembre 2021, n°116, p. 24. Je vais un peu plus loin dans la douleur (si je puis dire) 😉 avec ce deuxième volet de ma série sur les douleurs chroniques, dans la revue Néo Santé (n°116, novembre 2021). ⠀

L’article du mois passé partait de l’analogie du détecteur de fumée pour caractériser la douleur. Mais cette analogie a ses limites (comme toute analogie) : c’est que, dans notre corps, beaucoup de mécanismes sont bidirectionnels. Dans les liens entre douleurs chroniques et inflammation chroniques, ça veut dire qu’une douleur chronique peut provoquer une inflammation du système nerveux central, tout autant qu’une inflammation du système nerveux central peut provoquer des douleurs chroniques au niveau périphérique. ⠀

Eviter de se faire mal, ce serait bien… Mais on ne le choisit pas toujours (en fait, très rarement même !), par contre avoir un mode de vie le moins inflammatoire possible, ça on peut le choisir ! Et ça passe beaucoup par l’alimentation, et par l’activité physique. C’est sur des exemples concrets que termine l’article… ⠀

Parution : Néo Santé, n°115, octobre 2021

Nouvelle parution : “Regard évolutionniste sur la douleur chronique (I)”, Néo Santé, octobre 2021, n°115, p. 24. Parution du premier volet de ma série sur la douleur chronique, dans Néo Santé. En Belgique comme en France, près d’un tiers de la population souffre de douleurs chroniques. Ca valait bien la peine d’investiguer un peu la question, au regard de notre évolution, et en lien avec les inflammations, elles aussi, chroniques.

Ce premier volet introduit la question de la douleur dans notre évolution, en particulier avec le principe du “détecteur de fumée”. L’article qui paraîtra début novembre fera le lien avec notre alimentation.

Bonne lecture ! (En espérant évidemment que vous n’êtes pas trop nombreux et nombreuses, ici, à souffrir de telles douleurs chroniques).

Parution : Néo Santé, n°114, septembre 2021

Nouvelle parution : “Paléo & Végé : convergences protéiques”, Néo Santé, septembre 2021, n°114, p. 24. Ce mois-ci, je publie le 2ème volet de ma série sur les convergences entre les “Vegans” et celles et ceux qui mangent “paléo”. Les deux types d’alimentation témoignent souvent de la même volonté de manger sainement. Le gros problème, que j’avais un peu laissé de côté le mois passé, c’est évidemment l’apport en protéines. C’est l’objet de cet article.

Quel est l’apport en protéines conseillé, du point de vue de notre évolution, et quelle a été, au cours de cette évolution, la part des protéines d’origine animale ? Je fais aussi le point sur les protéines “complètes” et “incomplètes”, et sur les associations idéales entre protéines d’origine végétale, pour avoir tous les acides aminés essentiels.

De manière intéressante, ces bonnes associations se trouvent dans de nombreux plats traditionnels anciens : riz cajun aux haricots rouges, couscous (semoule + pois chiches), etc. Et puis, il y a également la choucroute et autres aliments fermentés, ainsi que les champignons, sur lesquels vegans et “paléos” peuvent trouvent un terrain d’entente…

Bonne lecture !

Parution : Néo Santé, n°113, juillet-août 2021

Nouvelle parution : “Régime paléo et végétarisme : les convergences”, Néo Santé, juillet-août 2021, n°113, p. 24. Régime paléo / régime végétarien… Ces deux manières de s’alimenter témoignent d’une volonté de manger plus sainement. Alors au lieu de toujours les opposer, dans cet article, j’ai essayé de me focaliser sur ce qui peut les rapprocher.

Je dois bien dire que je reçois souvent des messages de personnes végétariennes qui cherchent des aliments moins inflammatoires, potentiellement, que les céréales et les légumineuses. Et à côté de ça, j’ai suivi pas mal de personnes, au niveau de l’alimentation paléo, qui désiraient manger moins de viande, souvent pour des raisons environnementales.

Alors peut-être y a-t-il moyen de faire en sorte que le régime végétarien s’inspire un peu plus de notre évolution ? Et peut-être y a-t-il moyen de minimiser l’impact sur l’environnement du régime paléo ? C’est à ça que je m’attelle dans cet article.

Attention, ça ne plaira pas aux “purs et durs” de chaque côté. J’y parle de “zones grises” et de compromis par rapport à nos ancêtres chasseurs-cueilleurs, et je me réfère à tous ces sous-groupes les “ovo-vagétariens”, les “pesco-végétariens”, les “lacto-végétariens”, les “polo-végétariens” (juste du poulet) et les “flexitariens”.

On pourrait avoir envie de se moquer de toutes ces étiquettes, mais je ne me moquerai jamais de celles et ceux qui essayent de manger plus sainement, quelles que soient les étiquettes qu’ils se collent et la gymnastique lexicale qu’ils s’infligent.

Bonne lecture ! Et gardez ça en tête : mangez sainement et restez cool avec ça. Pas besoin de devenir l’ayatollah d’un régime alimentaire !! 😉

Au plaisir d’en discuter avec toute personne intéressée ! 👍