Nouvelle parution : “Regard évolutionniste sur la douleur chronique (II)”, Néo Santé, novembre 2021, n°116, p. 24. Je vais un peu plus loin dans la douleur (si je puis dire) 😉 avec ce deuxième volet de ma série sur les douleurs chroniques, dans la revue Néo Santé (n°116, novembre 2021). ⠀
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L’article du mois passé partait de l’analogie du détecteur de fumée pour caractériser la douleur. Mais cette analogie a ses limites (comme toute analogie) : c’est que, dans notre corps, beaucoup de mécanismes sont bidirectionnels. Dans les liens entre douleurs chroniques et inflammation chroniques, ça veut dire qu’une douleur chronique peut provoquer une inflammation du système nerveux central, tout autant qu’une inflammation du système nerveux central peut provoquer des douleurs chroniques au niveau périphérique. ⠀
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Eviter de se faire mal, ce serait bien… Mais on ne le choisit pas toujours (en fait, très rarement même !), par contre avoir un mode de vie le moins inflammatoire possible, ça on peut le choisir ! Et ça passe beaucoup par l’alimentation, et par l’activité physique. C’est sur des exemples concrets que termine l’article… ⠀
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Parution : Néo Santé, n°115, octobre 2021
Nouvelle parution : “Regard évolutionniste sur la douleur chronique (I)”, Néo Santé, octobre 2021, n°115, p. 24. Parution du premier volet de ma série sur la douleur chronique, dans Néo Santé. En Belgique comme en France, près d’un tiers de la population souffre de douleurs chroniques. Ca valait bien la peine d’investiguer un peu la question, au regard de notre évolution, et en lien avec les inflammations, elles aussi, chroniques.
Ce premier volet introduit la question de la douleur dans notre évolution, en particulier avec le principe du “détecteur de fumée”. L’article qui paraîtra début novembre fera le lien avec notre alimentation.
Bonne lecture ! (En espérant évidemment que vous n’êtes pas trop nombreux et nombreuses, ici, à souffrir de telles douleurs chroniques).
Parution : Néo Santé, n°91, juillet-août 2019
Nouvelle parution : “Mise au point sur le pain (III)”, Néo Santé, n°91, juillet-août 2019, p. 24. : J’y aborde la question des relations entre la consommation de céréales à base de gluten et le développement de certaines pathologies mentales, comme la schizophrénie, l’autisme ou la dépression.
Une paroi intestinale poreuse expose le corps à des substances dangereuses : bactéries, toxines et substances opiacées. Ces substances, proches de la morphine, se fixent sur les récepteurs opiacés de notre cerveau, causant des problèmes neurologiques : angoisse, nervosité, dépression, etc.
> > > Et quelles sont les sources de peptides opioïdes dans notre alimentation ? Le lait (via la casomorphine, provenant de la dégradation de la caséine) et le gluten (via la gliadorphine et la gluteomorphine, provenant de la dégradation du gluten). Au point que certains affirment que le blé moderne est un opiacé (Frontiers in Human Neuroscience, 2016).
Le reste à lire dans Néo Santé…
Parution : Néo Santé, n°89, mai 2019
Nouvelle parution : “Mise au point sur le pain (I)”, Néo Santé, n°89, mai 2019, p. 24. Nouvelle parution dans Néo Santé (n°89, mai 2019) : j’inaugure une nouvelle série sur le pain !
Dans ce premier volet, je retrace l’origine du pain dans notre alimentation, et son évolution, précisément à un moment où la consommation de pain diminue. Pour remettre les choses à leur place : les peuples européens ont évolué 99,7% sans consommer de blé (pour comparaison, c’est à peine moins longtemps que sans consommer de sodas : 99,9%).
Surtout, le blé que nous consommons n’est plus du tout le blé des débuts : vers 9000 ans av. J.C dans le “Croissant fertile” (Turquie, Syrie, Irak, Iran, Liban, Jordanie, Israël, Palestine, Egypte…). Notre blé est beaucoup moins riche en micro-nutriments, et surtout, il crée beaucoup plus d’inflammations que le petit épeautre d’antan. Les formes de gluten y sont différentes et cela pourrait expliquer les différences de niveau d’inflammation…
Plus d’informations dans l’article…
Parution : Néo Santé, n°33, avril 2014
Nouvelle parution : “Quelle farine sans gluten ?“, Néo Santé, n°33, avril 2014, p. 38. Dans la nature, les aliments ne se trouvent pas sous forme de farine. Dans un régime paléo strict, ce produit peu naturel est donc exclu. Pour les accros, il y a cependant des alternatives à la farine de blé plus ou moins acceptables… Cet article fait précisément le point sur l’acceptabilité de ces alternatives : farines de sarrasin, millet, quinoa, maïs, tapioca, amande, châtaigne, etc…