Parution : Néo Santé, n°48, septembre 2015

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Nouvelle parution : “Alimentation et maladies mentales, Néo Santé, n°48, septembre 2015, p. 32. Deuxième volet de la série sur les liens entre l’alimentation et les maladies mentales. Les inflammations intestinales et les troubles du système immunitaire peuvent être la cause de maladies mentales comme la schizophrénie, c’est ce dont j’ai parlé le mois passé. L’article du mois de septembre aborde les troubles du déficit de l’attention, l’hyperactivité et les troubles du spectre autistique.

Parution : Néo Santé, n°46, juin 2015

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Nouvelle parution : “Pourquoi craque-t-on ?, Néo Santé, n°46, juin 2015, p. 32. Si vous êtes un lecteur ou une lectrice assidu(e) de Néo Santé, vous mangez probablement assez sainement. Que ce soit “paléo” ou pas, vous faites probablement relativement attention à ce que vous mangez, en qualité et en quantité… Mais n’avez vous jamais “craqué” pour un aliment qui ne cadre pas du tout avec votre régime alimentaire ? Vous voyez, ces envies un peu incontrôlables ? Que nous disent-elles sur notre manière de nous alimenter ? Et comment les aborder ? Le sujet est extrêmement intéressant, parce qu’il se situe à l’intersection entre nos réels besoins physiologiques, nos envies émotionnelles et nos habitudes culturelles. Entre le biologique, le psychologique et le social. Et dans un jeu complexe d’allers-retours entre ces trois niveaux.

 

Parution : Néo Santé, n°45, mai 2015

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Nouvelle parution : “Feu vert pour les jus verts”, Néo Santé, n°45, mai 2015, p. 38. Parmi les tendances actuelles en matière d’alimentation, les “jus vert” et les “smoothies” ont plutôt la cote. Les jus sont produits par extraction (du liquide et des nutriments), ce qui met les fibres de côté. Les smoothies, par contre, contiennent l’entièreté du fruit ou du légume, que l’on mixe, avec les fibres, ce qui les rend beaucoup plus intéressants. Bien sûr nos ancêtres chasseurs-cueilleurs n’avaient pas les outils pour mixer leurs fruits et légumes, mais ces smoothies permettent un apport en micronutriments qui nous rapprocherait davantage de celui de nos ancêtres. C’est cet apport que vous décrivons dans l’article…

Merci à Audrey Sersté, qui est venue donner une conférence sur les jus verts à CrossFit Nivelles le mois dernier. Je vous conseille fortement d’aller faire un tour sur son blog, et de la suivre sur les différentes réseaux sociaux !

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Parution : Néo Santé, n°44, avril 2015

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Nouvelle parution : “Quel sel est le plus sain ?“, Néo Santé, n°44, avril 2015, p. 38. L’article du mois précédent traitait de la question du sel : peut-on saler ses aliments dans le cadre d’une alimentation “paléo”, en quelle quantité, et avec quel impact sur la santé ? Intéressons-nous maintenant au type de sel concerné, parmi la multitude de sels proposés en commerce : sel de mer, fleur de sel, gros sel, sel d’Himalaya, etc. Quelles sont les différences entre ces sels, et y a-t-il des choix plus judicieux à faire en terme de santé ?

 

Parution : Néo Santé, n°43, mars 2015

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Nouvelle parution : “La question du sel”, Néo Santé, n°43, mars 2015, p. 38. Parmi les questions qui me sont régulièrement posées concernant l’alimentation paléolithique, il y a bien évidemment celle du sel : peut-on saler ses aliments, ses plats, lorsqu’on mange “paléo” ? Une fois de plus, la réponse n’est pas si facile et la clé vers la santé se situe probablement entre les excès de l’industrie alimentaire et un ascétisme qui ne correspondrait ni à nos conditions historiques de vie sur Terre, ni à nos besoins physiologiques. L’article qui paraîtra en avril 2015 traitera du type de sel à utiliser : sel d’Himalaya, fleur de sel, sel gris, etc.

Parution : Néo Santé, n°42, février 2015

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Nouvelle parution : “Redécouvrir les plantes sauvages (II), Néo Santé, n°42, février 2015, p. 38. Deuxième volet consacré aux plantes sauvages : Comme nos ancêtres du paléolithique, nous pourrions parfaitement puiser dans la nature sauvage l’essentiel de nos besoins alimentaires végétaux. Certaines plantes de nos régions sont des mines de vitamines et minéraux, et même des sources de protéines. Ce deuxième article sur le sujet se fait plus précis. Découvrez les bienfaits nutritifs de la roquette, de l’oseille, de la consoude, de la bourrache, du pissenlit, de l’ail des ours, de l’alliaire, du chénopode, de l’égopode, des pâquerettes et du lierre terrestre.

Parution : Néo Santé, n°41, janvier 2015

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Nouvelle parution : “Redécouvrir les plantes sauvages (I), Néo Santé, n°41, janvier 2015, p. 38. Rusés chasseurs et/ou habiles pêcheurs, nos ancêtres de la préhistoire étaient surtout de grands cueilleurs. C’est pourquoi une alimentation paléo digne de ce nom devrait réserver une large place aux plantes sauvages, lesquelles possèdent plusieurs avantages sur les végétaux cultivés. Cet article est le premier d’une série de deux articles consacrés aux plantes sauvages, qui poussent naturellement dans nos campagnes et nos jardins, et qui sont gratuits, prêts à l’emploi et disponibles tout de suite !

Parution : Néo Santé, n°40, décembre 2014

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Nouvelle parution : “La solution alimentaire des tendinites, Néo Santé, n°40, décembre 2014, p. 38. Contre l’inflammation des tendons, les médicaments anti-inflammatoires font pire que bien. En revanche, la nutrition paléolithique aide à éviter et à soigner les tendinites. Logique puisque ce régime écarte les aliments problématiques et qu’il favorise les nutriments favorables…

Parution : Néo Santé, n°39, novembre 2014

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Nouvelle parution : “Quel est le meilleur édulcorant ?”, Néo Santé, n°39, novembre 2014, p. 38. Au fur et à mesure que l’alimentation paléolithique se popularise, apparaissent dans les magasins des aliments qui peuvent, d’une certaine manière, se revendiquer « paléo », tout en présentant quelques qualités qui nous plaisent tant dans les aliments modernes : ils sont sucrés, faciles à préparer, et ne perturbent pas trop nos habitudes culturelles alimentaires. C’est ce qu’on appelle la « paleo comfort food »… Mais ces aliments sont-ils toujours aussi « paléo » qu’on le prétend ?

 

Parution : Néo Santé, n°38, octobre 2014

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Nouvelle parution : Quel alcool dans le verre paléo ?“, Néo Santé, n°38, octobre 2014, p. 38. Notre article précédent montrait que notre consommation d’alcool remontait loin dans notre évolution. Et nous ne sommes mêmes pas les seuls primates à en consommer. Une consommation “modérée” d’alcool est d’ailleurs plutôt bénéfique pour la santé, avec tout un ensemble de limites précisées dans l’article précédent. Mais toutes les boissons alcoolisées sont-elles bonnes ? Et sinon, quels sont les meilleurs choix ? Et pourquoi ? Cet article fera le point sur le pouvoir antioxydant des polyphénols du vin rouge, et sur certains choix que l’on peut faire (toujours avec modération) parmi les spiritueux…