Nouvelle parution : “Alimentation et troubles de la vision“, Néo Santé, n°32, mars 2014, p. 38. On a souvent l’impression que notre monde moderne devient fou. Mais est-ce qu’il ne deviendrait pas également un peu “flou” ? De nombreuses études convergent pour montrer que des troubles de la vue, comme la myopie ou la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), sont en nette augmentation depuis la révolution industrielle. Cela pourrait-il être lié à notre alimentation ? Durant nos millions d’années de chasseurs-cueilleurs du Paléolithique, notre capacité de vision était fondamentale à notre survie. En particulier, la capacité à voir loin était ce qui nous permettait de voir venir un prédateur, de repérer une proie, de se situer dans l’espace, de trouver un point d’eau, etc. Tout trouble de la vue, comme la myopie, résultait probablement en une mort prématurée… Dans cet article, j’explique le lien très clair entre des troubles liés au sucre (diabète, hyperinsulinémie, etc.) et troubles de la vue…
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Parution : Néo Santé, n°31, février 2014
Nouvelle parution : “Bons plans alimentaires pour l’hiver“, Néo Santé, n°31, février 2014, p. 38. Avez-vous déjà remarqué que les “remèdes de grand-mère” pour passer l’hiver en bonne santé, ou pour se sortir d’un bonne grippe hivernale, étaient pratiquement toujours assez proches des consignes de l’alimentation “paléolithique” ? Je fais donc le point, dans cet article, sur quelques remèdes naturels, comme les Omega-3, la vitamine C, la vitamine D, le coco, ainsi que quelques épices, comme l’ail, le piment ou le gingembre…
Parution : Néo Santé, n°30, janvier 2014
Nouvelle parution : “Santé mentale et Oméga-3”, Néo Santé, n°30, janvier 2014, p. 38. L’article du mois passé avait été l’occasion d’explorer le lien entre notre alimentation et une maladie neurodégénérative comme la maladie d’Alzheimer. Ce mois-ci, j’ai poursuivi sur ce lien entre l’alimentation et le cerveau, pour comprendre l’influence des acides gras Omega-3 sur notre comportement social et notre santé mentale. Je précise tout de suite : de formation, je suis sociologue. Je suis donc plutôt enclin à “expliquer le social par le social“, comme disait Durkheim, un des pères fondateurs de la sociologie, au tournant du 20ème siècle. Pourtant, force est de constater que le lien entre la prise d’Omega-3 et des phénomènes comme l’anxiété, l’agressivité, la dépression, etc., est soutenu par de nombreuses recherches, et que des traitements ont fait leur preuve dans des contextes aussi difficiles que l’agressivité en milieu carcéral…
Parution : Néo Santé, n°29, décembre 2013
Nouvelle parution : “Huile de coco contre maladie d’Alzheimer“, Néo Santé, n°29, décembre 2013, p. 38. Les graisses saturées ont une très mauvaise réputation. Pourtant, nous avons besoin de graisses saturées, en particulier notre cerveau. Mais de graisses saturées naturelles, non-industrielles. Après avoir parlé de l’huile de palme, voici les bienfaits de l’huile de coco pour lutter contre une maladie dégénérative comme la maladie d’Alzheimer.
Parution : Néo Santé, n°28, novembre 2013
Nouvelle parution : “Le Soja ? Pas si bon que ça… (II)“, Néo Santé, n°28, novembre 2013, p. 38. Voici le deuxième volet consacré au soja. Dans le premier, je donnais un aperçu du caractère industriel et inflammatoire du soja, qu’on nous vend pourtant comme un produit “bio”. Je rentre cette fois pleinement dans la question des troubles hormonaux et de l’impact du soja sur la thyroïde. Le soja, dans ces formes les plus traditionnelles, qui ne sont plus guère consommées, reste un aliment récent à l’échelle de l’évolution humaine. Et le passage en revue de la littérature scientifique sur la question montre que les résultats sont soit contradictoires, soit insuffisants pour soutenir la plupart des avantages de la protéine de soja sur la santé.
Parution : Néo Santé, n°27, octobre 2013
Nouvelle parution : “Le soja , Pas si bon que ça…(I)”, dans Néo Santé, n°27, octobre 2013, p. 38. Omniprésent en magasin bio, le soja ne mérite pourtant pas sa réputation d’aliment sain. Si l’on se penche sur son histoire et sur les procédés de transformation industriels, on découvre d’ailleurs combien cette renommée est usurpée. Cet article est le premier sur le soja. Un deuxième article paraîtra dans le numéro de novembre 2013.
Double parution : deux articles dans Néo Santé, n°26, septembre 2013
Nouvelle parution : “Quid de l’huile de palme ?”, dans Néo Santé, n°26, septembre 2013, p.38. Troisième volet de ma série sur les graisses dans l’alimentation paléolithique : l’huile de palme, décriée pour son impact écologique, mais qui représente une bonne source de graisses pour notre organisme. Une graisse saturée, stable, qui ne s’oxyde pas, et riche en vitamine E et A.
Nouvelle parution : “Le sommeil façon paléo”, dans Néo Santé, n°26, septembre 2013, p.34. L’observation des peuples anciens, tout comme l’observation des primates les plus proches de nous, posent une question : dans quelle posture dormir ? Et tous ces lits ultra-sophistiqués sont-ils bien nécessaires ? Un chercheur ayant observé les primates en Ouganda fait l’hypothèse que les postures de repos (couchés et assis) pourraient bien constituer des moyens que la nature a trouvés pour que notre corps puisse soigner lui-même ses tensions musculaires et articulaires. Comme les animaux sauvages, nos ancêtres ne devaient pas enfoncer leur tête dans de moelleux oreillers, ce qui les aurait privés de pouvoir entendre des deux oreilles un danger potentiel en pleine nuit. Ils utilisaient probablement leurs bras comme oreillers.
Parution : Néo Santé, n°25, juillet-août 2013
Nouvelle parution : “Voilà les bonnes graisses”, dans Néo Santé, n°25, juillet-août 2013, p. 42. Le mois précédent, nous expliquions l’importance des graisses dans notre alimentation, et à quel point notre corps était conçu pour se nourrir de gras. Mais quelles graisses ? Comment savoir quels sont les aliments gras à consommer, vu toutes ces mises en garde quant au « cholestérol », aux « graisses saturées » et autres « mauvaises graisses » ? Très concrètement, les œufs, les graisses animales, le bacon, font peur : ne risque-t-on pas de se boucher les artères et de développer des problèmes de cholestérol ?
Parution : Néo Santé, n°24, juin 2013
Nouvelle parution : “Nos amies les graisses”, dans Néo Santé, n°24, juin 2013, p. 42. Notre besoin en graisse est peut-être ce qui nous distingue le plus de nos cousins primates. On estime que les sociétés de chasseurs-cueilleurs qui perdurent encore actuellement tirent entre 30 et 60 % de leur énergie dans les graisses. Les chimpanzés sont à 6 % ; les gorilles à moins de 3 %. C’est pourquoi leur alimentation se compose à 80 % de feuilles et d’écorces. On voit donc qu’il y a un lien très clair entre trois éléments : 1. la taille du cerveau par rapport au reste du corps ; 2. la consommation de gras et d’aliments riches en énergie ; et 3. la consommation de produits d’origine animale. L’être humain est à la fois celui qui a le plus gros cerveau par rapport au reste de son corps et celui qui a l’alimentation la plus riche.
Parution : Néo Santé, n°23, mai 2013
Nouvelle parution : “Aucun intestin n’aime le gluten”, dans Néo Santé, n°23, mai 2013, p. 42. Peut-être pensez-vous que vous n’êtes pas intolérant au gluten, après tout, n’avez-vous pas mangé du pain et de pâtes toute votre vie ? En fait, il est tout à fait possible d’être sensible au gluten sans être atteint de maladie coeliaque, c’est ce qu’on appelle la “Non-Celiac Gluten Sensitivity” (ou NCGS) : une réaction au gluten qui n’est ni auto-immune, ni allergique.