Nouvelle parution : “Redécouvrir les plantes sauvages (II)”, Néo Santé, n°42, février 2015, p. 38. Deuxième volet consacré aux plantes sauvages : Comme nos ancêtres du paléolithique, nous pourrions parfaitement puiser dans la nature sauvage l’essentiel de nos besoins alimentaires végétaux. Certaines plantes de nos régions sont des mines de vitamines et minéraux, et même des sources de protéines. Ce deuxième article sur le sujet se fait plus précis. Découvrez les bienfaits nutritifs de la roquette, de l’oseille, de la consoude, de la bourrache, du pissenlit, de l’ail des ours, de l’alliaire, du chénopode, de l’égopode, des pâquerettes et du lierre terrestre.
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Parution : Néo Santé, n°41, janvier 2015
Nouvelle parution : “Redécouvrir les plantes sauvages (I)”, Néo Santé, n°41, janvier 2015, p. 38. Rusés chasseurs et/ou habiles pêcheurs, nos ancêtres de la préhistoire étaient surtout de grands cueilleurs. C’est pourquoi une alimentation paléo digne de ce nom devrait réserver une large place aux plantes sauvages, lesquelles possèdent plusieurs avantages sur les végétaux cultivés. Cet article est le premier d’une série de deux articles consacrés aux plantes sauvages, qui poussent naturellement dans nos campagnes et nos jardins, et qui sont gratuits, prêts à l’emploi et disponibles tout de suite !
Parution : Néo Santé, n°40, décembre 2014
Nouvelle parution : “La solution alimentaire des tendinites”, Néo Santé, n°40, décembre 2014, p. 38. Contre l’inflammation des tendons, les médicaments anti-inflammatoires font pire que bien. En revanche, la nutrition paléolithique aide à éviter et à soigner les tendinites. Logique puisque ce régime écarte les aliments problématiques et qu’il favorise les nutriments favorables…
Parution : Néo Santé, n°39, novembre 2014
Nouvelle parution : “Quel est le meilleur édulcorant ?”, Néo Santé, n°39, novembre 2014, p. 38. Au fur et à mesure que l’alimentation paléolithique se popularise, apparaissent dans les magasins des aliments qui peuvent, d’une certaine manière, se revendiquer « paléo », tout en présentant quelques qualités qui nous plaisent tant dans les aliments modernes : ils sont sucrés, faciles à préparer, et ne perturbent pas trop nos habitudes culturelles alimentaires. C’est ce qu’on appelle la « paleo comfort food »… Mais ces aliments sont-ils toujours aussi « paléo » qu’on le prétend ?
Parution : Néo Santé, n°38, octobre 2014
Nouvelle parution : Quel alcool dans le verre paléo ?“, Néo Santé, n°38, octobre 2014, p. 38. Notre article précédent montrait que notre consommation d’alcool remontait loin dans notre évolution. Et nous ne sommes mêmes pas les seuls primates à en consommer. Une consommation “modérée” d’alcool est d’ailleurs plutôt bénéfique pour la santé, avec tout un ensemble de limites précisées dans l’article précédent. Mais toutes les boissons alcoolisées sont-elles bonnes ? Et sinon, quels sont les meilleurs choix ? Et pourquoi ? Cet article fera le point sur le pouvoir antioxydant des polyphénols du vin rouge, et sur certains choix que l’on peut faire (toujours avec modération) parmi les spiritueux…
Parution : Néo Santé, n°37, septembre 2014
Nouvelle parution : “L’alcool est-il paléocompatible ?“, Néo Santé, n°37, septembre 2014, p. 38. A priori, les boissons alcoolisées ne relèvent pas de l’alimentation ancestrale. Quoique ! Les animaux frugivores ont un penchant pour les fruits trop mûrs et les hommes du paléolithique se livraient déjà à la fermentation du raisin. D’où les bienfaits d’une consommation modérée. Mais qu’appelle-t-on une consommation “modérée” et à quels niveaux cette consommation modérée de boisson alcoolisée peut-elle être bonne pour la santé ?
Cet article est le premier d’une série de deux articles consacrés aux boissons alcoolisées. L’article paraissant en octobre détaillera quels sont les boissons alcoolisées les plus appropriées et quelles sont celles à éviter…
Parution : Néo Santé, n°36, juillet-août 2014
Nouvelle parution : “Combien d’oeufs par semaine“, Néo Santé, n°36, juillet-août 2014, p. 38. Toujours vilipendé par la diététique classique, l’oeuf est au contraire un aliment très bien coté par l’approche paléolithique. Ses inconvénients potentiels sont minimes et ses qualités nutritionnelles très nombreuses. Dans cet article, j’essaie de répondre à cette question classique que l’on me pose si souvent : “Mais combien d’oeufs peut-on manger par semaine ??”
Parution : Néo Santé, n°35, juin 2014
Nouvelle parution : “Pommes de terre ou patates douces ?“, Néo Santé, n°35, juin 2014, p. 38. L’alimentation paléolithique vante souvent les mérites des “patates douces” (“sweet potatoes”) alors que nos bonnes vieilles pommes de terre traditionnelles ont bien moins la cote. Comment cela se fait-il ? Dans cet article, je montre les différences, au niveau de l’apport en glucides (dont l’index glycémique), de l’apport en micronutriments (largement à l’avantage des patates douces) et de la présence d’anti-nutriments (dont les pommes de terre sont plus riches que les patates douces, les rendant plus inflammatoires…).
Parution : Néo Santé, n°34, mai 2014
Nouvelle parution : “Plutôt fruits ou plutôt légumes“, Néo Santé, n°34, mai 2014, p. 38. Pourquoi dit-on souvent qu’il est préférable de manger davantage de légumes que de fruits ? Comment cela s’explique-t-il vis-à-vis de notre évolution ? Et que répondre à celles et ceux qui s’orientent vers un régime frugivore ? Les études montrent que nos plus lointains ancêtres ne mangeaient pas tant de fruits, privilégiant les noix, les racines des végétaux, les insectes, et un peu de viande. Une recherche, parue en 2009 dans le Journal of Human Evolution, montrait que deux de nos traits physiques étaient concomitants à des changements de notre environnement, il y a 4 millions d’années : notre bipédie et la structure de nos dents. A cette époque, nos ancêtres quittent les arbres pour se nourrir davantage de ce qu’ils pouvaient trouver au niveau du sol.
Cette étude se base sur les dents des Australopithecus Anamensis, ayant vécu il y a 4,2 à 3,9 millions d’années (c’est-à-dire juste avant « Lucy », Australopithecus Afarensis). Les fruits “mous” et “charnus”, privilégiés par les espèces purement frugivores, ont tendance à être trop acides pour nos dents, et ne nécessitent pas de force dans la mâchoire pour être broyés.
Or l’analyse de l’émail des dents d’Australopithecus Anamensis indique que leurs dents n’étaient pas du tout bien équipées pour faire face à l’érosion due à l’acide, et qu’à l’inverse, elles étaient bien adaptées à la mastication d’aliments durs et abrasifs. Les chercheurs pensent donc qu’à cette époque, nous mangions surtout des noix, des racines de légumes, des insectes (comme les termites) et un peu de viande. (Lire la suite dans la revue…)
Parution : Néo Santé, n°33, avril 2014
Nouvelle parution : “Quelle farine sans gluten ?“, Néo Santé, n°33, avril 2014, p. 38. Dans la nature, les aliments ne se trouvent pas sous forme de farine. Dans un régime paléo strict, ce produit peu naturel est donc exclu. Pour les accros, il y a cependant des alternatives à la farine de blé plus ou moins acceptables… Cet article fait précisément le point sur l’acceptabilité de ces alternatives : farines de sarrasin, millet, quinoa, maïs, tapioca, amande, châtaigne, etc…