Parution : Néo Santé, n°97, février 2020

Nouvelle parution : “Comment freiner le vieillissement”, Néo Santé, février 2020, n°97, p. 24. 

Plus précisément, l’article s’intéresse à ce qu’on peut faire pour garder un mode de vie indépendant le plus longtemps possible.

Dans le CrossFit, on apprend que le manque de mouvement fonctionnel amène à l’état de “décrépitude” : lorsqu’on n’est plus capable d’effectuer les tâches quotidiennes, et qu’on a donc besoin d’une assistance (ce qui conduit généralement vers un placement en maison de repos).

Alors, comment retarder l’atrophie musculaire et cérébrale qui nous amène tout droit vers la perte de l’autonomie ? C’est tout l’objet de l’article 😉

Ce qui est intéressant, c’est que la médecine et la société moderne nous permettent de vivre bien au-delà de nos capacités physiques et mentales de base, ce que nous ne pouvions probablement pas faire au cours de notre évolution. Cette augmentation de l’espérance de vie est certainement un progrès social. Mais il est intéressant de remarquer que ce qui nous permettra de vivre le plus vieux en toute indépendance, par nous-même, est l’alimentation et l’activité physique que nous avons connues durant les millions d’années de notre évolution.

Parution : Néo Santé, n°30, janvier 2014

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Nouvelle parution : “Santé mentale et Oméga-3”, Néo Santé, n°30, janvier 2014, p. 38. L’article du mois passé avait été l’occasion d’explorer le lien entre notre alimentation et une maladie neurodégénérative comme la maladie d’Alzheimer. Ce mois-ci, j’ai poursuivi sur ce lien entre l’alimentation et le cerveau, pour comprendre l’influence des acides gras Omega-3 sur notre comportement social et notre santé mentale. Je précise tout de suite : de formation, je suis sociologue. Je suis donc plutôt enclin à “expliquer le social par le social“, comme disait Durkheim, un des pères fondateurs de la sociologie, au tournant du 20ème siècle. Pourtant, force est de constater que le lien entre la prise d’Omega-3 et des phénomènes comme l’anxiété, l’agressivité, la dépression, etc., est soutenu par de nombreuses recherches, et que des traitements ont fait leur preuve dans des contextes aussi difficiles que l’agressivité en milieu carcéral…

Parution : Néo Santé, n° 16, oct. 2012.

Nouvelle parution : “Peut-on manger paléo pendant la grossesse ?”, dans Néo Santé, n°16, oct. 2012, p. 42. J’y parle des vitamines (principalement B9, B12 et D) et des minéraux (fer, calcium, zinc) dont l’alimentation paléo est plus riche que l’alimentation moderne.

Les poissons gras, riches en omega-3, sont également riches en iode, nécessaire aux glandes thyroïdiennes fortement sollicitées durant la grossesse.

Mais une telle alimentation favorise également la fertilité (chez l’homme comme chez la femme) et pourrait diminuer les risques de maladie chez l’enfant, plus tard : c’est l’hypothèse “DOHAD”, pour “Developmental Origins of Health and Disease”…

Tout cela est abordé dans l’article…