Parution : Néo Santé, n°105, novembre 2020

Nouvelle parution : “Les acides gras trans, ennemis du coeur”, Néo Santé, novembre 2020, n°105, p. 24. Je publie ce mois-ci cet article dans Néo Santé, deuxième volet de ma série sur les aliments ultra-transformés (plats préparés, céréales petits déjeuners, plats à réchauffer au four, etc…) !

L’article du mois passé portait sur le caractère très calorique de ces aliments et sur leur teneur en sucres rapides.

L’article de ce mois-ci porte sur leur teneur en acides gras Trans, ces graisses artificielles créées en ajoutant de l’hydrogène à des huiles végétales.

Non seulement ces graisses Trans sont inflammatoires et oxydantes, mais elles induisent également la résistance à l’insuline et sont associées au développement de maladies cardio-vasculaires.

De plus, ces aliments ultra-transformés sont généralement très pauvres en bons micronutriments (vitamines, minéraux, etc.) dont on a besoin dans notre alimentation.

Tout ça est expliqué dans l’article, mais la conclusion à retenir, c’est simplement que moins les aliments arrivent transformés dans votre cuisine, mieux c’est ! Ce sera à vous, grâce à vos qualités de cuisinier ou cuisinière de les transformer. Et ça, de nombreuses études le montrent également : plus on cuisine soi-même, à la maison, plus on mange sainement… 😉

Parution : Néo Santé, n°104, octobre 2020

Nouvelle parution : “La catastrophe sanitaire par l’ultra-transformation alimentaire”, Néo Santé, octobre 2020, n°104, p. 24. Ce mois-ci, je publie dans Néo Santé un article sur la nourriture “ultra-transformée” selon la classification NOVA (🇬🇧« ultra-processed food ») : plats préparés et/ou surgelés, plats et pains à réchauffer au four, céréales petit-déjeuner, chips, biscuits, bonbons, soupes ou pâtes instantanées, viandes recomposées, sodas, etc. De 1990 à 2010, la part de ces produits dans l’alimentation a triplé dans certains pays européens ! Le problème, c’est que ces aliments sont extrêmement caloriques, riches en sucres et en particulier en sirop de maïs à haute teneur en fructose : un dérivé très sucré de l’amidon du maïs.

Toutes les recherches sur la question montrent l’incidence de ce type d’aliments ultra-transformés sur le surpoids et le diabète de type II, par exemple.

Le simple fait de retirer les aliments ultra-transformés de son alimentation constitue déjà une stratégie pour perdre du poids, et explique en soi le succès de plusieurs régimes tout à fait différents : paléo, cétogène, crudivore, et dans une certaine mesure végétarien / végétalien également… à condition de ne pas remplacer les produits animaliers par des produits végétaux ultra-transformés…

Plus d’infos dans l’article…