Parution : Néo Santé, n°69, juillet-août 2017

Nouvelle parution : “Equilibrer le microbiote buccal”, Néo Santé, n°69, juillet-août 2017, p.24. C’est lorsque nous mettons ce que nous mangeons dans notre bouche que tout commence : plus de 700 espèces de bactéries rentrent en action, uniquement dans notre cavité buccale ! Et certaines nous accompagnent depuis des millions d’années ! Mais l’apparition de l’agriculture, et puis des produits industriels, a appauvri ce “microbiote oral”… au profit des bactéries les plus cariogènes !

La santé de notre bouche est très importante, elle est même un très bon indicateur de notre santé générale. Alors, autant préserver ces milliards de bactéries avec l’alimentation la plus saine possible !

Parution : Néo Santé, n°68, juin 2017

Nouvelle parution : “Pourquoi manger local et de saison ?”, Néo Santé, n°68, juin 2017, p.24. Je parle assez souvent de l’intérêt de manger local et de saison, principalement pour des raisons environnementales et de développement local face à la grande distribution. Mais manger comme cela est également très important dans une optique santé. Pourquoi ?

  1. Parce que les aliments de saison nous apportent ce dont nous avons besoin au moment où nous en avons besoin : hydratation et protection par rapport aux rayons du soleil en été (baies, carottes, tomates, etc.), apport calorique supplémentaire au fur et à mesure que les températures baissent en automne (noix, potirons, choux…), et ainsi de suite pour les quatre saisons.
  2. Plus les fruits et les légumes sont consommés rapidement après leur récolte, plus ils sont nutritifs. En moyenne, les aliments vendus en grande surface auront attendu plus d’une semaine entre leur récolte et leur consommation. Les brocolis auront perdu 56% de leur vitamine C. Les haricots verts : 77% !

Plus d’infos dans l’article…

Parution : Néo Santé, n°67, mai 2017

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Nouvelle parution : “Commet prévenir les calculs rénaux ?”, Néo Santé, n°67, mai 2017, p.24. Voilà un trouble de santé auquel on ne pense pas nécessairement lorsqu’on parle des maladies qui augmentent dans nos sociétés industrialisées. Il a pourtant doublé ces 15 dernières années, au point qu’on estime qu’aux Etats-Unis, une personne sur quinze connaîtra une expérience (douloureuse !) de pierres aux reins. On sait évidemment qu’il faut réduire le sel et bien s’hydrater. Mais d’autres causes peuvent intervenir : manque de magnésium, régime cétogène, et déséquilibre entre vitamine D et vitamines A et K2. Au niveau de la vitamine D, le soleil pourrait jouer un rôle : plus on descend vers des latitudes ensoleillées, plus le risque augmente. Mais cela est-il dû uniquement à la déshydratation liée à la chaleur ? Le point sur la question dans l’article…

Parution : Néo Santé, n°66, avril 2017

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Nouvelle parution : “Jeûner pour doper le cerveau”, Néo Santé, n°66, avril 2017, p.24. Si vous avez déjà testé le jeûne, vous avez peut-être ressenti cette impression d’être plus alerte ? Cela pourrait se justifier au niveau cérébral et trouver son origine sans nos pratiques de chasse ! A lire dans Néo Santé…

Parution : Néo Santé, n°65, mars 2017

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Nouvelle parution : “La détox est en nous”, Néo Santé, n°65, mars 2017, p.24. Comment favoriser les mécanismes naturels de notre corps pour éliminer les toxines, sans boisson “miracle” 😉 Dans la “detox”, notre foie est l’organe majeur et son plus grand allié est le glutathion, dont la production est favorisée par les aliments comme les végétaux à feuilles vertes, les crucifères, le jaune d’oeuf, etc… A lire dans Néo Santé.

Parution : Néo Santé, n°64, février 2017

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Nouvelle parution : “Gros plan sur les boissons énergisantes”, Néo Santé, n°64, février 2017, p.24.” : Explication du fonctionnement de la caféine, et comparaison du café, du thé et du guarana. Et puis le point également sur les boissons énergisantes “sans sucre”, mais qui l’ont remplacé par le Sucralose (qui contribue tout autant à la prise de poids, et à l’hyperinsulinémie). Quant à la taurine ou au ginseng, rien de très concluant au niveau des recherches, par rapport à un gain d’énergie ou à une amélioration des performances…

Parution : Néo Santé, n°63, janvier 2017

 

Photo 6-01-17 08 55 54Nouvelle parution : “Alimentation et sexualité (II)”, Néo Santé, n°63, janvier 2017, p.24. Deuxième volet relatif au lien entre alimentation et sexualité. Oubliez le mythe des aliments aphrodisiaques le grand soir venu, et privilégiez au quotidien, une alimentation qui favorise les fonctions sexuelles. Si nous sommes là pour en parler, c’est que durant des millions d’années, nos ancêtres ne s’en sont pas trop mal sortis. Une alimentation saine et une activité physique régulière sont les clés ! 😉 Explication dans l’article…

Parution : Néo Santé, n°62, décembre 2016

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Nouvelle parution : “Alimentation et sexualité (I)”, Néo Santé, n°62, décembre 2016, p. 32. Pourquoi parler de sexualité dans une rubrique paléonutrition ? Une sexualité épanouie et satisfaisante est, en règle générale, le signe d’une bonne santé. Et inversement, les maladies couramment associés à l’alimentation moderne industrielle perturbent le fonctionnement sexuel. Stress, fatigue, obésité, diabète, hypertension, problèmes thyroïdiens, etc., sont autant de perturbateurs des fonctions sexuelles : libido, érection et autres fonction sexuelles. A lire dans Néo Santé…

Parution : Néo Santé, n°61, novembre 2016

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Nouvelle parution : “Que boire après l’effort ?”, Néo Santé, n°61, novembre 2016, p. 32. Troisième volet de la série sur l’hydratation. Les deux premiers abordaient la question de la soif, meilleure indicateur – naturel – de notre besoin de boire. Mais que boire, en particulier après l’effort ? Vous pouvez mettre de côté les boissons dites “sportives”, du type Gatorade, Aquarius, etc., très chargées en sucre et pauvres en électrolytes. Privilégiez l’eau de coco.

Vous avez des crampes ? Essayez le jus des pickles (cornichons, etc.) : un vrai miracle !

Quant à l’eau, privilégiez une eau légèrement acide, mais au pouvoir alcalinisant, dû aux bicarbonates.

Parution : Néo Santé, n°60, octobre 2016

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Nouvelle parution : “L’hydratation des sportifs”, Néo Santé, n°60, octobre 2016, p. 32. Le mois dernier, je disais que la sensation de soif demeure le meilleur indicateur de la nécessité de boire. Ce mois-ci, je montre que cela reste vrai lorsqu’on pratique un sport, et que les marques de boissons sportives ont construit les risques de déshydratation comme un véritable argument de vente, au risque de produire des cas d’hyponatrémie, c’est-à-dire un taux trop bas de sodium dans le sang, dû à une sur-hydratation.

Pour celles et ceux qui connaissent, c’est un peu le combat de CrossFit contre les boissons dites “sportives”, comme Gatorade, qui ont infiltré toutes les instances du sport…