Parution : Néo Santé, n°91, juillet-août 2019

Nouvelle parution : “Mise au point sur le pain (III)”, Néo Santé, n°91, juillet-août 2019, p. 24. : J’y aborde la question des relations entre la consommation de céréales à base de gluten et le développement de certaines pathologies mentales, comme la schizophrénie, l’autisme ou la dépression.

Une paroi intestinale poreuse expose le corps à des substances dangereuses : bactéries, toxines et substances opiacées. Ces substances, proches de la morphine, se fixent sur les récepteurs opiacés de notre cerveau, causant des problèmes neurologiques : angoisse, nervosité, dépression, etc.

> > > Et quelles sont les sources de peptides opioïdes dans notre alimentation ? Le lait (via la casomorphine, provenant de la dégradation de la caséine) et le gluten (via la gliadorphine et la gluteomorphine, provenant de la dégradation du gluten). Au point que certains affirment que le blé moderne est un opiacé (Frontiers in Human Neuroscience, 2016).

Le reste à lire dans Néo Santé…

Parution : Néo Santé, n°90, juin 2019

Nouvelle parution : “Mise au point sur le pain (II)”, Néo Santé, n°90, juin 2019, p. 24. 

Parution du 2ème volet de ma série sur le pain. De plus en plus de gens développent des réactions intestinales et hors-intestinales, lorsqu’ils consomment des produits à base de gluten, bien qu’ils ne soient ni atteints de maladie cœliaque, ni intolérants au gluten, ni allergiques au blé. ). On parle de « sensibilité au gluten non-cœliaque » ou NCGS en anglais.

Il s’agit d’une combinaison de symptômes similaires au syndrome de l’intestin irritable : douleur abdominale, ballonnements, diarrhée ou constipation, ainsi que des manifestations systémiques : esprit “brumeux” (“foggy mind” en anglais), maux de tête, fatigue, douleurs articulaires…

Mais ce qui définit la NCGS, c’est qu’il n’y a pas de marqueurs biologiques, actuellement connus. On s’oriente récemment vers les inhibiteurs de l’amylase-trypsine du blé (ATI), qui sont des composés protéiques naturels des céréales contenant du gluten…

Plus à lire dans Néo Santé…

Parution : Néo Santé, n°89, mai 2019

Nouvelle parution : “Mise au point sur le pain (I)”, Néo Santé, n°89, mai 2019, p. 24. Nouvelle parution dans Néo Santé (n°89, mai 2019) : j’inaugure une nouvelle série sur le pain !

Dans ce premier volet, je retrace l’origine du pain dans notre alimentation, et son évolution, précisément à un moment où la consommation de pain diminue. Pour remettre les choses à leur place : les peuples européens ont évolué 99,7% sans consommer de blé (pour comparaison, c’est à peine moins longtemps que sans consommer de sodas : 99,9%).

Surtout, le blé que nous consommons n’est plus du tout le blé des débuts : vers 9000 ans av. J.C dans le “Croissant fertile” (Turquie, Syrie, Irak, Iran, Liban, Jordanie, Israël, Palestine, Egypte…). Notre blé est beaucoup moins riche en micro-nutriments, et surtout, il crée beaucoup plus d’inflammations que le petit épeautre d’antan. Les formes de gluten y sont différentes et cela pourrait expliquer les différences de niveau d’inflammation…

Plus d’informations dans l’article…

Parution : Néo Santé, n°74, janvier 2018

Nouvelle parution : “Le passage au paléo (II)”, Néo Santé, n°74, janvier 2018, p. 24. Deuxième volet de ma série sur les premières étapes lorsqu’on se lance dans l’alimentation paléo. Le premier article préconisait de réduire le sucre et d’augmenter son apport en Omega-3. C’est fait ? Alors, l’étape suivante serait de réduire les éléments inflammatoires de votre alimentation, et c’est particulièrement les céréales qui sont visées ici ! On remarque effectivement que de plus en plus de personnes développent des réactions négatives à l’ingestion de blé. Et même parmi ceux qui ne sont pas diagnostiqués “intolérants” au gluten. L’article fait le point sur la question et montre l’intérêt de réduire les céréales.

Parution : Néo Santé, n°33, avril 2014

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Nouvelle parution : “Quelle farine sans gluten ?“, Néo Santé, n°33, avril 2014, p. 38. Dans la nature, les aliments ne se trouvent pas sous forme de farine. Dans un régime paléo strict, ce produit peu naturel est donc exclu. Pour les accros, il y a cependant des alternatives à la farine de blé plus ou moins acceptables… Cet article fait précisément le point sur l’acceptabilité de ces alternatives : farines de sarrasin, millet, quinoa, maïs, tapioca, amande, châtaigne, etc…

Parution : Néo Santé, n°23, mai 2013

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Nouvelle parution : “Aucun intestin n’aime le gluten”, dans Néo Santé, n°23, mai 2013, p. 42. Peut-être pensez-vous que vous n’êtes pas intolérant au gluten, après tout, n’avez-vous pas mangé du pain et de pâtes toute votre vie ? En fait, il est tout à fait possible d’être sensible au gluten sans être atteint de maladie coeliaque, c’est ce qu’on appelle la “Non-Celiac Gluten Sensitivity” (ou NCGS) : une réaction au gluten qui n’est ni auto-immune, ni allergique.