Brève interview par Télé Bruxelles

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Reportage de Télé Bruxelles sur les sports mis en avant au Salon des Sports (Sports Fair), dont le CrossFit. “On ne parle plus que du CrossFit” m’a dit la journaliste, juste avant l’interview. J’essaie en une phrase d’expliquer une des raisons du succès de cette méthode d’entraînement … 🙂

A voir sur leur site, via ce lien : http://bx1.be

Parution : “Comment le sucre nous enfume !” – Sport & Vie, n°154

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Nouvelle parution : Je publie dans le numéro de janvier-février (n°154), du magazine “Sport & Vie”, un article sur le sucre. Il s’agit d’une version améliorée de l’article que j’avais publié sur ce blog : “Et si nous refusions d’être au service de l’industrie alimentaire ?“. Comment les grosses industries alimentaires, rassemblées en fédérations, arrivent à nous faire croire que manger trop sucré n’est pas si grave (tant que l’on fait du sport), et comment les marques s’infiltrent partout dans le sport et la santé, sous couvert de promotion de l’activité physique ?

Entre militantisme CrossFit contre l’industrie du sucre et du soda (voir le combat de CrossFit, Inc. au Etats-Unis) et analyse de sociologie des médias (après tout, c’est de là que je viens), cet article fait le point sur les stratégies des marques et industries (exactement les mêmes que celles des cigarettiers à une époque), et en appelle, en toile de fond, les acteurs du sport et de la santé à ne pas être les “idiots utiles” de l’industrie alimentaire…

Commander le numéro en ligne : http://www.sport-et-vie.com/numero-154/a-decouverte-ski-alpinisme.4341.php

Il y a juste 6 ans…

Capture d’écran 2015-09-18 à 11.55.54C’est souvent en regardant en arrière qu’on se rend compte du chemin parcouru… Voici une vidéo que j’ai publiée il y a 6 ans, jour pour jour, le 18 septembre 2009. C’était un an avant l’ouverture de CrossFit Brussels (septembre 2010), même si CrossFit Namur existait déjà (alors appelé “CrossFit Belgium”) et utilisait un espace dans une salle fitness traditionnelle. 

Je n’avais comme matos qu’un pneu, une masse et un kettlebell de 16 kg. Pas de barre, pas de medecine ball. Je ne suis pas sûr que Rogue existait déjà. Reebok était encore loin de s’intéresser au CrossFit. Les Games se déroulaient dans les champs et n’étaient pas encore diffusés en direct.

A l’époque, je suivais les vidéos en ligne sur CrossFit.com, avec Chris Spealler et Annie Sakamato. On ne connaissait pas Rich Froning.

J’avais découvert le CrossFit quelques mois auparavant (vers février 2009) et commencé mon blog “Sport is Everywhere” en juillet 2009.

C’était un an avant que je fasse ma Level 1 et 2 ans avant le début des événements Reebok CrossFit en France, le Salon du Fitness à Paris, le Reebok CrossFit Fitness Championship (ancêtre du French Throwdown).

Six ans, c’est à la fois long, si on imagine ça devant soi. Et à la fois court, à l’échelle d’une vie, lorsqu’on regarde en arrière.

Ca signifie qu’en 6 ans, on peut découvrir quelque chose qu’on ne connaissait pas, et qui n’existe pratiquement pas là où on vit, et en faire petit à petit son activité principale. Aujourd’hui, il y a plus de 40 salles CrossFit en Belgique, et je co-gère l’une des plus grandes : CrossFit Nivelles. J’en vis, avec mes 2 associés, et 7 coaches travaillent avec nous.

La refrain de la chanson (Hatebreed : “Live For This“) qu’on entend derrière dit :

“Every drop of blood, every bitter tear
Every bead of sweat, I live for this”

(“Chaque goutte de sang, chaque larme amère
Chaque goutte de sueur, je vis pour ça”)

… c’est plus ou moins ce que j’ai fait ces 6 dernières années. Si vous avez un objectif, poursuivez-le… Vous n’avez aucune idée d’où vous serez dans 6 ans !!

Et si nous refusions d’être au service de l’industrie alimentaire ?

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Je voudrais faire sortir l’industrie du soda de la médecine du sport !” C’est ce qu’à récemment déclaré Coach Glassman, le fondateur du CrossFit, dans ce qui ressemble à une croisade de CrossFit Inc. contre Coca-Cola ou Gatorade. Il y a quelques jours, CrossFit Journal publiait “Sugar Bombs“, un article expliquant en quoi les “boissons sportives” (“sports drinks“) étaient trop chargées en sucre, et pouvaient affecter la performance sportive et la santé.

Plus largement, ce à quoi s’attaque Glassman est l’intrusion de l’industrie alimentaire, et en particulier des marques comme Coca-Cola ou Pepsi dans le sponsoring d’associations médicales et d’organisations liées à la santé ou au sport. Ainsi, Coca-Cola vient de créer le “Global Energy Balance Network” qui vise à promouvoir un bon équilibre entre l’énergie Capture d’écran 2015-08-19 à 08.45.53dépensée (par l’activité physique) et l’énergie ingérée (par l’alimentation) pour lutter contre l’obésité….

Via son “Beverage Institute for Health and Wellness“, Coca-Cola a également fondé l’initiative “Exercise is Medicine“, dirigée par l’American College of Sports Medicine (ACSM). L’idée, qu’on va retrouver assez souvent, est d’être en meilleure santé par le sport… Comprenons-nous bien : je ne conteste pas l’idée qu’il faille faire du sport – au contraire ! Je voudrais juste mettre en doute l’importance mise par l’industrie alimentaire sur le sport, par rapport à l’alimentation, lorsqu’il est question de surpoids, d’obésité, et plus largement de santé.

La théorie du calorie “in” / calorie “out” est, à ce niveau, particulièrement utile pour l’industrie alimentaire : “vous pouvez continuer à consommer, voire sur-consommer nos produits hyper-caloriques, du moment que vous vous dépensez en suffisance !”. Dans cette optique, le problème de l’obésité serait principalement dû à un manque d’activité physique, pas à une alimentation trop calorique, trop chargée en sucre. En gros, ce n’est pas de la faute de l’industrie alimentaire, c’est de votre faute : vous ne faites pas assez de sport. Heureusement, Coca-Cola va promouvoir le sport… pour lutter contre l’obésité.

Le problème, c’est que pour lutter contre le surpoids, l’alimentation est plus importante que l’activité physique. C’est pourquoi la théorie CrossFit place l’alimentation à la base de sa hiérarchie du développement d’un athlète. L’alimentation est plus importante que la pratique sportive. Sinon, comment expliquer, comme le montrait le documentaire Fed Up, que sur la période 1980-2000, l’inscription dans les clubs de sport a doublé aux Etats-Unis, mais que sur cette même période, le taux d’obésité a également doublé !

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La fin de leur monde

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Photo : Emmanuel Rosario

Un an après le début de la publication de textes sur la notion d’Empowerment, et ce que j’ai appelé l’ « anti-délégation », voici un texte qui synthétise là où j’en suis actuellement. Durant cette année, j’ai continué à écrire, à lire (surtout) et j’ai essayé de mettre tout cela en pratique, en créant – avec trois autres – notre entreprise, et en vivant de ma passion. 

J’ai discuté. Beaucoup. Avec plein de gens. Je n’ai pas su répondre à tout le monde. J’ai eu des contacts avec des maisons d’édition intéressées. Mais je n’en suis pas encore là. Il y a encore beaucoup à écrire.

Ce texte, c’est l’état actuel de ma réflexion sur les mouvements d’Empowerment dans la société actuelle. Et j’ai décidé de l’intituler « la fin de leur monde ». Temps de lecture : 15 minutes (cliquez ici pour la version PDF).

La fin de leur monde, c’est ce que j’essaie de décrire. C’est le sentiment qu’on vit dans un monde de plus en plus absurde. Un monde auquel on n’arrive plus à trouver un sens.

La fin de leur monde, c’est la fin de leurs institutions, auxquelles nous étions censés déléguer de pans entiers de notre existence, mais auxquelles on ne croit plus.

C’est la fin de leur Etat, dont on ne voit plus en quoi il est l’émanation de la souveraineté du peuple, en quoi il nous protège, nous assure l’égalité, l’émancipation, et l’accès aux moyens de subsistance.

C’est la fin de leur économie, de leurs marchés, de leurs échanges mondialisés. C’est la fin de leur système qui fait parcourir des milliers de kilomètres aux tomates qui arrivent dans nos assiettes, les chargeant en substances chimiques nocives pour notre santé, et les appauvrissant en micronutriments utiles à notre alimentation, tandis que notre voisin, producteur local de fruits et légumes, est acculé sous les charges, les règlements, les interdictions, les entraves au développement.

Et tout se mélange lorsqu’on nous dit que « notre » Etat doit sauver leurs banques. C’est le sentiment que c’est notre argent qui est utilisé pour sauver ceux qui ont tout perdu, en jouant avec… notre argent.  Ou lorsqu’on nous dit qu’il faut sauver leur industrie, pour sauver nos emplois, même si c’est au détriment de notre planète.

En réalité, c’est la fin de leur emploi, de leur Travail, des carrières qu’ils ont conçues pour nous (à la police, à l’armée, à la fonction publique, à la banque, à l’usine ou dans telle grande entreprise), des emplois stables, de l’épanouissement par le travail, des parcours d’insertion professionnelle pour chercheurs d’emploi. Et c’est la fin de leurs délégations syndicales, à qui on déléguait la défense de nos emplois. C’est la fin de leurs grèves…

C’est la fin de leur école, dans laquelle nous semblons tous perdus : enseignants, élèves, parents. Dans laquelle nous sommes pris entre la nostalgie des uns, dont les rappels à l’ordre et aux valeurs semblent obsolètes, et les volontés de réforme des autres, dont les innovations pédagogiques semblent désuètes. C’est le sentiment que ceux qui ont élaboré les programmes n’ont jamais enseigné dans nos écoles, à nos élèves ou à nos enfants.

Et c’est en vrac, la fin de leur médecine à laquelle on ne sait plus si on peut croire, tant elle paraît éloignée de nos maux, et de nos remèdes, de leurs médias, de leurs élections, de leurs conflits religieux, de leurs administrations.

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C’est en vrac le sentiment qu’on manque constamment de temps, qu’on court sans arrêt, sans savoir après quoi ; le sentiment que tout nous échappe ; qu’on nous en demande toujours plus, sans nous en rendre ; qu’on ne sait plus à quoi ou à qui se fier ; c’est le sentiment qu’on n’est plus les « Sujets » de nos vies, lorsqu’on est constamment l’ « objet » des réformes, des sondages, des mesures, et des dispositifs mis en place pour nous. Continue reading La fin de leur monde

La HitBox, un entraînement fonctionnel ? Réfléchissez bien…

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Peut-être avez-vous vu ce nouveau concept de la marque Planet Fitness, la “HitBox“, présentée comme une zone d’entraînement fonctionnel “clé en main” ? (lien vers la vidéo)

Le problème est que “fonctionnel” et “clé en main” me semblent être tout à fait incompatibles. La formule de Planet Fitness sonne comme un oxymore : deux mots que leurs sens devraient éloigner, comme la “clarté sombre” de Baudelaire.

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Bien sûr, tout dépendra de la manière dont on définit un entraînement “fonctionnel”, mais en règle générale, cela se réfère à un entraînement basé sur des mouvements naturels, complets, dont on retrouve une utilité dans la vie quotidienne. On dit parfois que des mouvements fonctionnels sont des mouvements qui existent hors des salles de sport : se lever, soulever une charge du sol, amener un objet en hauteur, etc.

Si votre entraînement se veut “fonctionnel”, il doit donc présenter la même variabilité et le même caractère aléatoire, hasardeux (“randomness” en anglais), que la vie quotidienne et/ou naturelle.  Et dans la vie quotidienne, ou dans la nature, RIEN ne se présente à nous “clé en main”.

En fait, tout le principe de notre évolution a été une adaptation à des environnements qui ne sont justement pas “clé en main”. C’est ce que l’on appelle la “pression de sélection” en biologie évolutionniste : les contraintes environnementales forcent les espèces à se transformer. Ce sont des changements climatiques, il y a 4 millions d’années, qui nous ont amené à nous tenir debout (Homo Afarensis). Plus tard, il y a 2,5 millions d’années, c’est Homo Habilis qui s’adapte en inventant les premiers outils lui permettant, entre autres, de varier sa nourriture. Son apport en calories augmente, son cerveau se développe, etc. C’est aussi par nécessité d’adaptation que nous sommes devenus omnivores. Toute notre évolution s’explique par le fait que rien ne nous est jamais servi “clé en main”.

C’est parce que la nature ne nous fournit pas toute la nourriture, directement bien préparée et découpée dans notre assiette, que nous avons dû développer des techniques de chasse, construire des outils, maîtriser le feu, et plus tard inventer une technologie culinaire. C’est parce que la nature ne nous fournit pas d’habitats sécurisés et chauffés “clé en main”, que nous avons dû développer l’architecture, inventer des techniques de construction, apprendre à maîtriser les matériaux, etc. Et que ce soit l’alimentation ou l’habitat, cela s’est toujours fait en s’adaptant, c’est-à-dire en répondant à la pression de l’environnement : tout comme les Inuits ont développé des techniques alimentaires différentes des Hadza dans l’est de l’Afrique, leurs techniques d’habitat sont également différentes. Continue reading La HitBox, un entraînement fonctionnel ? Réfléchissez bien…

Une Expo Photo dans une salle CrossFit

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Merci à toutes celles et ceux qui sont venus à l’exposition photos “Steel & Concrete”, par Tanguy Maes, à CrossFit 1815

C’était une expérience tout à fait originale de transformer, le temps d’une soirée, une salle de CrossFit, en un lieu d’exposition. Et en même temps, cela s’y prêtait tout à fait, par le caractère très urbain et plein d’énergie des photos de Tanguy Maes. Entre univers urbain, Bmx, scène hardcore/punk, et CrossFit, on retrouve certainement des éléments culturels et visuels communs.

Près de 200 personnes se sont déplacées, dont certaines depuis Liège ! Merci à toutes et à tous !

Certaines des photos non vendues seront laissées en exposition à CrossFit 1815. N’hésitez pas à passer si vous voulez les voir…

Quelques photos de l’événement, à voir sur Facebook…

Pour des infos sur le photographe, Tanguy Maes :

Steel & Concrete : Expo Photos de Tanguy Maes à CrossFit 1815

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Lorsqu’il y a quatre ans, j’ai découvert la salle de sport “BodyTribe Fitness“, à San Francisco, j’ai su que c’était comme cela que j’imaginais une salle de sport idéale. La salle sert de lieu d’exposition pour des artistes locaux (photographes, peintres, etc.), et 982df3f254d8b9e556eaabf37db9f73erégulièrement des vernissages sont organisés dans la salle…

Depuis, j’ai eu l’occasion de creuser ces liens entre le CrossFit et l’art (en particulier la photo). Tout comme les sports extrêmes que j’apprécie (Skate, Bmx, etc.), le CrossFit est un sport très visuel, dont l’intensité se prête particulièrement bien à la photo. En fait, on retrouve dans les photos de CrossFit, la même énergie, la même intensité, que dans des concerts punk/hardcore, que je connais bien également. Personnellement, j’ai même toujours essayé de photographier les compétitions CrossFit, comme je photographiais des concerts hardcore.

Lorsque c’est présentée la possibilité d’organiser une exposition Photos à CrossFit 1815, à Waterloo, en Belgique, Tanguy Maes (soullesspictures.com) tombait à pic : photographe, CrossFitteur (à Reebok CrossFit Brussels), et particulièrement investi dans la scène Métal/hardcore belge… Ses photos vont du Rock au Bmx, en passant par des univers urbains/industriels, et maintenant le CrossFit…

Il exposera ses photos le samedi 21 septembre, à 20h, à CrossFit 1815 (av. des Pâquerettes, 55. 1410 Waterloo).

Plus d’infos sur : SportisEverywhere.com

 

Healthy is the New Cool : La promotion de la santé, par le CrossFit

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Toute personne qui s’est déjà intéressée aux messages de prévention en terme de santé s’est probablement rendue compte de cette contradiction : les porteurs de discours de promotion de la santé sont généralement loin d’être aussi cool que celles et ceux qui font, volontairement ou pas, la promotion des pratiques problématiques : malbouffe, alcool, drogue, tabac, etc.

C’est quelque chose qu’a très bien décrit Malcolm Gladwell, dans son “Tipping Point“, à propos de la consommation de tabac chez les jeunes : chez beaucoup de fumeurs, la première cigarette a été fumée avec quelqu’un de leur entourage qu’ils jugeaient extrêmement cool et attirant (en terme d’attitude).

“The First kid I knew who smoked was Billy G. (…) Billy was incredibly cool. He was the first kid to date girls, smoke cigarettes, and pot, drinks hard alcohol and listen to druggy music.” (Tipping Point : 229).

Attention, ce n’est pas que fumer est cool, c’est plutôt que les fumeurs se voient généralement attribuer tout un ensemble de traits qu’on associe au “cool” : rébellion, prise de risque, anti-conformisme, impulsivité, etc. : Smokers are cool, dit Gladwell. Même chose pour l’alcool ou la malbouffe : celui qui sait bien boire ou se taper des gros burgers est, je l’avoue, probablement quelqu’un de plutôt festif, avec qui on ne doit pas trop s’emmerder…

NancyReaganC’est surtout que, par opposition, ceux qui défendent le discours inverse : ne pas boire, ne pas fumer, manger sainement, etc., paraissent du coup beaucoup moins festifs. Et souvent à juste titre. On peut tout de suite citer la campagne “Just Say No” de Nancy Reagan, dans les années ’80, qui visait à inciter les jeunes à dire “Non” à la drogue. Avec ses tailleurs stricts, son collier de perle et sa permanente, on pouvait difficilement faire moins “cool”… face aux rockstars de l’époque qui faisaient l’apologie de tout ce qui n’était pas permis… Continue reading Healthy is the New Cool : La promotion de la santé, par le CrossFit

Le CrossFit sur les réseaux sociaux : Infographie

Le CrossFit n’est pas seulement la forme de fitness la plus complète et efficace actuellement. Je crois que son succès est également dû au fait que nous avons pu créer une communauté très active, et engageante, au moment même où émergeaient des moyens de construire des communautés comme jamais auparavant. Je parle des réseaux sociaux.

Voici une infographie plus qu’intéressante, reprise sur l’excellent blog de Web Smith, montrant à quel point le CrossFit a pu créer de l’engagement, en dépassant souvent des marques comme Nike ou MTV.

tumblr_mkebd2SNDN1qaujk2o1_r1_500Source : http://websmithblog.com/#/blog

La chaîne CrossFit sur Youtube dépasse ainsi ces deux marques. Et fait jeu égal avec CNN et Victoria’s Secret !

Et avec 138.121 participants aux Open, l’engagement sur Facebok place CrossFit devant Nike, pourtant à la pointe au niveau de l’engagement sur les réseaux sociaux. Cela signifie que davantage d’internautes ont parlé de CrossFit que de Nike sur Facebook. Et c’est ça aussi le CrossFit : le partage des scores, l’échange de conseils avant les wods de qualification, les impressions d’avant et d’après-WOD, etc.