Nouvelle parution : “Le passage au paléo (II)”, Néo Santé, n°74, janvier 2018, p. 24. Deuxième volet de ma série sur les premières étapes lorsqu’on se lance dans l’alimentation paléo. Le premier article préconisait de réduire le sucre et d’augmenter son apport en Omega-3. C’est fait ? Alors, l’étape suivante serait de réduire les éléments inflammatoires de votre alimentation, et c’est particulièrement les céréales qui sont visées ici ! On remarque effectivement que de plus en plus de personnes développent des réactions négatives à l’ingestion de blé. Et même parmi ceux qui ne sont pas diagnostiqués “intolérants” au gluten. L’article fait le point sur la question et montre l’intérêt de réduire les céréales.
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Parution : Néo Santé, n°73, décembre 2017
Nouvelle parution : “Le passage au paléo (I)”, Néo Santé, n°73, décembre 2017, p. 24. Après avoir creusé quelques questions spécifiques, comme celle du microbiote, revenons à une vision plus généraliste de l’alimentation, avec une question que chacun est amené à se poser lorsqu’il se lance dans l’alimentation “paléolithique” : par où commencer ? La réduction de la consommation de sucres et l’augmentation de la consommation d’acides gras Oméga-3 sont les deux premières étapes qui s’imposent. C’est effectivement les deux changements qui auront le plus grand impact sur votre santé ! Suite au prochain numéro…
Parution : Néo Santé, n°72, novembre 2017
Nouvelle parution : “Microbiote et symbiose”, Néo Santé, n°72, novembre 2017, p. 24. Dernier volet de ma série sur les bactéries qui co-évoluent avec nous depuis des millions d’années. Nous co-évoluons en symbiose : il est donc préférable d’éviter de détruire ce microbiote avec des antibiotiques à tout-va ou avec de mauvais choix alimentaires ! Je prends l’exemple de la bactérie H. Pylori, dont la présence est associée au cancer de l’estomac, mais dont l’absence est également à tout un ensemble de troubles de santé, dont l’obésité.
Parution : Néo Santé, n°71, octobre 2017

“Si on s’intéresse aux gènes de l’ensemble de ces organismes, on a ce qu’on appelle l’ “Hologénome” : l’ensemble formé par nos gènes, les gènes des milliards de bactéries que nous hébergeons, et les gènes de tout ce qui nous entoure au quotidien.
Voilà qui donne un peu le vertige ! Nous sommes très peu de choses, au milieu de ces milliards de gènes qui interagissent à tout instant, et dont les interactions sont le fruit de milliards d’années d’évolution.”
On ne nous fera plus avaler n’importe quoi ! (Conférence)
Un IMMENSE MERCI à toutes celles et ceux qui ont venus à la conférence du 15 septembre à CrossFit Nivelles ! Vous étiez plus d’une centaine !!
C’était la première fois que je mettais, sous forme de conférence, tout ce que j’ai écrit ces dernières années sur l’alimentation naturelle et sur la reprise en main de sa santé (#Onnenousferaplusavalernimportequoi) et je me dis déjà qu’il y a plein de chose que j’ai oublié de dire, ou que je devrais modifier !
Merci en tout cas pour votre attention !!
Le Facebook Live ne donne pas très bien à cause du manque de luminosité, on le sait pour la prochaine fois, et je vais essayer de produire une autre vidéo : https://www.facebook.com/CrossFitNivelles/videos/1671105082930786/
Merci également au chef Dany Lombart pour les délicieux plats qu’il nous a fait parvenir ! C’est cela que vous retrouverez dans les plats O-Food en préparation !!
Envie d’accueillir cette conférence sur l’alimentation ? Discutons-en : yvespatte@gmail.com
Comment la résumer en une phrase ? : “Ce qui se fait en dépit de la nature ne sied jamais bien” (Cicéron).
… D’où la nécessité de définir ce qui caractérise notre nature, et donc l’alimentation qui nous sied le mieux. Au delà de toutes les tendances/modes sur l’alimentation, mon but est de définir ce qu’est “une alimentation la plus naturelle possible”.
Parution : Néo Santé, n°70, septembre 2017
Nouvelle parution : “Equilibrer le microbiote intestinal”, Néo Santé, n°70, septembre 2017, p. 24.
Deuxième volet sur le rôle fondamental de ces milliards de bactéries qui peuplent notre corps, formant pratiquement un organe à part entière, de 1,5 kg ! Nous vivons en symbiose avec ces bactéries. Nous vivons dans la Nature, mais une partie de la Nature vit en nous, au sens le plus concret de l’expression. Le problème est que notre alimentation industrielle détruit ce microbiote. Cet article présente des recherches sur le microbiote de différents peuples africains, dont les chasseurs-cueilleurs Hadza.
Deux infos pour aller plus loin :
- Préparation d’un livre avec Marc Bégoud, de Super7.fr, sur l’alimentation paléo !
- Ma conférence du 15 septembre, à CrossFit Nivelles, intitulée “On ne nous fera plus avaler n’importe quoi !”. Inscrivez-vous à l’événement Facebook !
Cherche co-rédacteur / éditeur pour une ouvrage sur l’alimentation paléolithique
Ca fait pas mal de temps que je me dis que je devrais rassembler tous les articles que j’ai publiés ces dernières années dans la rubrique Paléo Nutrition de la revue Néo Santé. Le premier date déjà de 2011 ! En tout, ça fait une soixantaine d’articles (liste ici) !
Mais je manque de temps pour me replonger dans toutes ces pages, et structurer un ouvrage cohérent. Alors, je me dis que je pourrais collaborer avec une autre personne, dont la tâche serait de se plonger dans cette grosse centaine de pages (60 articles de 2 pages A4, police 12), couper tout ce qui est inutile ou redondant, et trouver une manière de structurer tous ces articles.
Le but est d’arriver à une centaine de pages, voire 120, en format “Livre”.
Au niveau éditorial, l’idée est de mettre l’accent sur une approche globale de la santé, basée sur l’évolution, et donc forcément sur la plus longue période de notre évolution : la période paléolithique. C’est au final vers ça que je vais dans l’ensemble de ces articles : l’évolution a fait de notre corps un organisme complexe très performant pour survivre. Une approche simple et très cohérente de la santé est donc simplement de privilégier une alimentation – et plus largement un mode de vie – qui permette à notre corps de fonctionner comme il est censé fonctionner. Ca paraît bateau, mais c’est extrêmement fort – et pratico-pratique – comme approche.
Ce n’est donc ni un livre de recettes paléo (il en existe déjà plein !), ni une méthode pour perdre du poids (même si manger sainement ne peut qu’amener à perdre la masse grasse qui serait excédentaire).
Donc, je cherche un homme / une femme qui :
- Est intéressé.e par le sujet (primordial !)
- A une certaine connaissance de la santé, de la médecine, etc. (pas besoin d’être médecin, mais comprendre le fonctionnement du corps et être capable de lire des articles sur Pubmed serait un réel atout !)
- A une certaine connaissance de l’édition (en soi les articles sont écrits, et je me charge de ce qu’il faudrait rajouter au niveau rédactionnel).
- A une grosse capacité de synthèse, pour être capable d’identifier ce qu’il faut garder et ce qu’il faut couper.
- Est sympa (parce que c’est plus gai pour bosser) 🙂
J’offre :
- La possibilité d’être co-auteur.e d’un livre sur l’alimentation paléo.
- Une pourcentage sur les ventes par la suite, à fixer selon une convention.
(Pour l’instant, je n’ai pas d’accord avec le moindre éditeur. On peut imaginer qu’au fur et à mesure du travail, un éditeur nous fasse une offre, et qu’on renégocie les bénéfices de chacun. Cela peut être noté dans la convention de départ).
Intéressé.e ?
Envoyez-moi un petit mail (yvespatte@gmail.com) expliquant qui vous êtes, quelle est votre expérience et à quel point vous êtes motivé.e !
Si vous avez déjà édité ou publié quelque chose, mentionnez-le !
C’est évidemment plus pratique si vous vivez en Belgique et qu’on peut se voir pour en discuter autour d’un verre, mais ce n’est pas une obligation, les moyens de communication actuels permettent de trouver la bonne personne même si elle habite loin !
Parution : Néo Santé, n°69, juillet-août 2017
Nouvelle parution : “Equilibrer le microbiote buccal”, Néo Santé, n°69, juillet-août 2017, p.24. C’est lorsque nous mettons ce que nous mangeons dans notre bouche que tout commence : plus de 700 espèces de bactéries rentrent en action, uniquement dans notre cavité buccale ! Et certaines nous accompagnent depuis des millions d’années ! Mais l’apparition de l’agriculture, et puis des produits industriels, a appauvri ce “microbiote oral”… au profit des bactéries les plus cariogènes !
La santé de notre bouche est très importante, elle est même un très bon indicateur de notre santé générale. Alors, autant préserver ces milliards de bactéries avec l’alimentation la plus saine possible !
Parution : Néo Santé, n°68, juin 2017
Nouvelle parution : “Pourquoi manger local et de saison ?”, Néo Santé, n°68, juin 2017, p.24. Je parle assez souvent de l’intérêt de manger local et de saison, principalement pour des raisons environnementales et de développement local face à la grande distribution. Mais manger comme cela est également très important dans une optique santé. Pourquoi ?
- Parce que les aliments de saison nous apportent ce dont nous avons besoin au moment où nous en avons besoin : hydratation et protection par rapport aux rayons du soleil en été (baies, carottes, tomates, etc.), apport calorique supplémentaire au fur et à mesure que les températures baissent en automne (noix, potirons, choux…), et ainsi de suite pour les quatre saisons.
- Plus les fruits et les légumes sont consommés rapidement après leur récolte, plus ils sont nutritifs. En moyenne, les aliments vendus en grande surface auront attendu plus d’une semaine entre leur récolte et leur consommation. Les brocolis auront perdu 56% de leur vitamine C. Les haricots verts : 77% !
Plus d’infos dans l’article…
Parution : Néo Santé, n°67, mai 2017
Nouvelle parution : “Commet prévenir les calculs rénaux ?”, Néo Santé, n°67, mai 2017, p.24. Voilà un trouble de santé auquel on ne pense pas nécessairement lorsqu’on parle des maladies qui augmentent dans nos sociétés industrialisées. Il a pourtant doublé ces 15 dernières années, au point qu’on estime qu’aux Etats-Unis, une personne sur quinze connaîtra une expérience (douloureuse !) de pierres aux reins. On sait évidemment qu’il faut réduire le sel et bien s’hydrater. Mais d’autres causes peuvent intervenir : manque de magnésium, régime cétogène, et déséquilibre entre vitamine D et vitamines A et K2. Au niveau de la vitamine D, le soleil pourrait jouer un rôle : plus on descend vers des latitudes ensoleillées, plus le risque augmente. Mais cela est-il dû uniquement à la déshydratation liée à la chaleur ? Le point sur la question dans l’article…