Parution : Néo Santé, n°39, novembre 2014

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Nouvelle parution : “Quel est le meilleur édulcorant ?”, Néo Santé, n°39, novembre 2014, p. 38. Au fur et à mesure que l’alimentation paléolithique se popularise, apparaissent dans les magasins des aliments qui peuvent, d’une certaine manière, se revendiquer « paléo », tout en présentant quelques qualités qui nous plaisent tant dans les aliments modernes : ils sont sucrés, faciles à préparer, et ne perturbent pas trop nos habitudes culturelles alimentaires. C’est ce qu’on appelle la « paleo comfort food »… Mais ces aliments sont-ils toujours aussi « paléo » qu’on le prétend ?

 

Parution : Néo Santé, n°38, octobre 2014

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Nouvelle parution : Quel alcool dans le verre paléo ?“, Néo Santé, n°38, octobre 2014, p. 38. Notre article précédent montrait que notre consommation d’alcool remontait loin dans notre évolution. Et nous ne sommes mêmes pas les seuls primates à en consommer. Une consommation “modérée” d’alcool est d’ailleurs plutôt bénéfique pour la santé, avec tout un ensemble de limites précisées dans l’article précédent. Mais toutes les boissons alcoolisées sont-elles bonnes ? Et sinon, quels sont les meilleurs choix ? Et pourquoi ? Cet article fera le point sur le pouvoir antioxydant des polyphénols du vin rouge, et sur certains choix que l’on peut faire (toujours avec modération) parmi les spiritueux…

Parution : Néo Santé, n°37, septembre 2014

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Nouvelle parution : “L’alcool est-il paléocompatible ?“, Néo Santé, n°37, septembre 2014, p. 38. A priori, les boissons alcoolisées ne relèvent pas de l’alimentation ancestrale. Quoique ! Les animaux frugivores ont un penchant pour les fruits trop mûrs et les hommes du paléolithique se livraient déjà à la fermentation du raisin. D’où les bienfaits d’une consommation modérée. Mais qu’appelle-t-on une consommation “modérée” et à quels niveaux cette consommation modérée de boisson alcoolisée peut-elle être bonne pour la santé ?

Cet article est le premier d’une série de deux articles consacrés aux boissons alcoolisées. L’article paraissant en octobre détaillera quels sont les boissons alcoolisées les plus appropriées et quelles sont celles à éviter…

Parution : Néo Santé, n°36, juillet-août 2014

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Nouvelle parution : “Combien d’oeufs par semaine“, Néo Santé, n°36, juillet-août 2014, p. 38. Toujours vilipendé par la diététique classique, l’oeuf est au contraire un aliment très bien coté par l’approche paléolithique. Ses inconvénients potentiels sont minimes et ses qualités nutritionnelles très nombreuses. Dans cet article, j’essaie de répondre à cette question classique que l’on me pose si souvent : “Mais combien d’oeufs peut-on manger par semaine ??”

Pour rebondir sur le dossier “Economie collaborative” de Socialter

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J’aimerais conseiller le dernier numéro de la revue “Socialter“, et son dossier sur l’économie collaborative. Si vous pouvez vous procurer la revue, foncez !

De nombreux éléments composants ce dossier rejoignent ce que j’ai pu écrire sur la notion d’Empowerment et ce que j’ai appelé la société de l'”anti-délégation”. Pour celles et ceux qui arriveraient pour la première fois sur ce blog, les bases de ce projet se trouvent dans cette introduction “Empowerment ou la société de l’anti-délégation“. Deux chapitres “en construction” ont été publiés : un chapitre sur l’Etat, la bureaucratie et le travail (“6. La crise de la délégation“) et un chapitre sur l’alimentation (“7.1. Reprendre en main son alimentation et sa santé“). Un chapitre paraîtra très prochainement sur les nouvelles formes de contestation : Occupy, les Indignés, etc.

(Toutes les références (n° de page, etc.) renvoie au numéro 6 de la revue Socialter, août-septembre 2014.)

DONC, en lisant le dossier de Socialter, j’ai apprécié l’impression que “j’étais dans le bon” avec mon analyse des mouvements sociaux et culturels actuels. Uber, Airbnb, les groupements d’achats collectifs, la Ruche Qui dit Oui, le co-voiturage, Wikipedia, etc… Tout cela relève bien d’une même dynamique. (J’avais déjà fait référence à la Ruche qui dit Oui, à partir d’un article de Socialter, dans cet article…).

MAIS je pense que le coeur de cette dynamique, le point central de ces évolutions, n’est pas en soi le partage ou la collaboration. Je pense que c’est autre chose, même si ces deux dimensions en sont constitutives. Je dirais que le partage et la collaboration sont des caractéristiques descriptives des évolutions actuelles, mais qu’elles n’en sont pas des caractéristiques définitionnelles. D’où la difficulté, qu’on ressent, me semble-t-il, dans le dossier de Socialter, pour définir si l’économie collaborative est toujours de la marchandisation ou si c’est du partage, si c’est libéral ou du “communisme à la cool” (p.31). Ce genre de questions est, selon moi, inutile parce que l’économie collaborative et les logiques de partage relèvent d’un mouvement plus large, qui rend l’opposition gauche-droite obsolète, comme je l’ai expliqué ici : “2.1. Au-delà de l’opposition gauche-droite.

Pourtant, ce mouvement plus large est plusieurs fois esquissé dans le dossier. Je pense que sa caractéristique définitionnelle est : le fait de reprendre le pouvoir sur soir-même et de ne plus déléguer à des institutions ou des intermédiaires, ce que l’on peut faire soi-même. Dans l’échange et le partage de particuliers à particuliers (peer-to-peer), je crois que c’est la dimension “particuliers à particuliers” qui est la plus importante, plus que l’échange ou le partage en soi. Continue reading Pour rebondir sur le dossier “Economie collaborative” de Socialter

Parution : Néo Santé, n°35, juin 2014

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Nouvelle parution : “Pommes de terre ou patates douces ?“, Néo Santé, n°35, juin 2014, p. 38. L’alimentation paléolithique vante souvent les mérites des “patates douces” (“sweet potatoes”) alors que nos bonnes vieilles pommes de terre traditionnelles ont bien moins la cote. Comment cela se fait-il ? Dans cet article, je montre les différences, au niveau de l’apport en glucides (dont l’index glycémique), de l’apport en micronutriments (largement à l’avantage des patates douces) et de la présence d’anti-nutriments (dont les pommes de terre sont plus riches que les patates douces, les rendant plus inflammatoires…).

Parution : Néo Santé, n°34, mai 2014

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Nouvelle parution : “Plutôt fruits ou plutôt légumes“, Néo Santé, n°34, mai 2014, p. 38. Pourquoi dit-on souvent qu’il est préférable de manger davantage de légumes que de fruits ? Comment cela s’explique-t-il vis-à-vis de notre évolution ? Et que répondre à celles et ceux qui s’orientent vers un régime frugivore ? Les études montrent que nos plus lointains ancêtres ne mangeaient pas tant de fruits, privilégiant les noix, les racines des végétaux, les insectes, et un peu de viande. Une recherche, parue en 2009 dans le Journal of Human Evolution, montrait que deux de nos traits physiques étaient concomitants à des changements de notre environnement, il y a 4 millions d’années : notre bipédie et la structure de nos dents. A cette époque, nos ancêtres quittent les arbres pour se nourrir davantage de ce qu’ils pouvaient trouver au niveau du sol.

Cette étude se base sur les dents des Australopithecus Anamensis, ayant vécu il y a 4,2 à 3,9 millions d’années (c’est-à-dire juste avant « Lucy », Australopithecus Afarensis). Les fruits “mous” et “charnus”, privilégiés par les espèces purement frugivores, ont tendance à être trop acides pour nos dents, et ne nécessitent pas de force dans la mâchoire pour être broyés.

Or l’analyse de l’émail des dents d’Australopithecus Anamensis indique que leurs dents n’étaient pas du tout bien équipées pour faire face à l’érosion due à l’acide, et qu’à l’inverse, elles étaient bien adaptées à la mastication d’aliments durs et abrasifs. Les chercheurs pensent donc qu’à cette époque, nous mangions surtout des noix, des racines de légumes, des insectes (comme les termites) et un peu de viande. (Lire la suite dans la revue…)

Parution : Néo Santé, n°33, avril 2014

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Nouvelle parution : “Quelle farine sans gluten ?“, Néo Santé, n°33, avril 2014, p. 38. Dans la nature, les aliments ne se trouvent pas sous forme de farine. Dans un régime paléo strict, ce produit peu naturel est donc exclu. Pour les accros, il y a cependant des alternatives à la farine de blé plus ou moins acceptables… Cet article fait précisément le point sur l’acceptabilité de ces alternatives : farines de sarrasin, millet, quinoa, maïs, tapioca, amande, châtaigne, etc…

Parution : Néo Santé, n°32, mars 2014

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Nouvelle parution : “Alimentation et troubles de la vision“, Néo Santé, n°32, mars 2014, p. 38. On a souvent l’impression que notre monde moderne devient fou. Mais est-ce qu’il ne deviendrait pas également un peu “flou” ? De nombreuses études convergent pour montrer que des troubles de la vue, comme la myopie ou la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), sont en nette augmentation depuis la révolution industrielle. Cela pourrait-il être lié à notre alimentation ? Durant nos millions d’années de chasseurs-cueilleurs du Paléolithique, notre capacité de vision était fondamentale à notre survie. En particulier, la capacité à voir loin était ce qui nous permettait de voir venir un prédateur, de repérer une proie, de se situer dans l’espace, de trouver un point d’eau, etc. Tout trouble de la vue, comme la myopie, résultait probablement en une mort prématurée… Dans cet article, j’explique le lien très clair entre des troubles liés au sucre (diabète, hyperinsulinémie, etc.) et troubles de la vue…

Parution : Néo Santé, n°31, février 2014

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Nouvelle parution : “Bons plans alimentaires pour l’hiver“, Néo Santé, n°31, février 2014, p. 38. Avez-vous déjà remarqué que les “remèdes de grand-mère” pour passer l’hiver en bonne santé, ou pour se sortir d’un bonne grippe hivernale, étaient pratiquement toujours assez proches des consignes de l’alimentation “paléolithique” ? Je fais donc le point, dans cet article, sur quelques remèdes naturels, comme les Omega-3, la vitamine C, la vitamine D, le coco, ainsi que quelques épices, comme l’ail, le piment ou le gingembre…