#GOODCHOICE : Bilan des 2 mois et ce que ça m’a appris sur les choix personnels !

Les 2 mois sont passés, c’est le moment de faire un petit bilan du #GOODCHOICE, lancé le 10 juillet, c’est-à-dire, pour rappel, l’idée de faire un bon choix par jour pour sa santé durant juillet-août. Bilan personnel et bilan de tout ce que j’ai appris avec les centaines de #goodchoice qui m’ont été envoyés. 

Personnellement, je me suis tenu à un #goodchoice par jour. Sans exception. Je n’ai rien changé de fondamental dans mon mode de vie, mais la période de vacances scolaires m’a permis de m’entraîner un peu plus, et surtout (c’est peut-être la différence principale) de me déplacer beaucoup plus à vélo (ne devant pas conduire et chercher les enfants à l’école).

Au niveau de l’alimentation, je suis resté sur mon alimentation la plus naturelle possible, en appliquant ce que je préconise dans mon programme de coaching alimentaire (“Ipsi testudines edite, qui cepistis“, qu’on pourrait traduire par : vérifiez toujours que le chef mange ses propres plats… ou que le coach applique ses propres conseils -> Taleb l’explique très bien) 😉

La seule chose que j’ai améliorée au niveau alimentaire, c’est que je me suis un peu plus souvent préparé mes repas du midi à l’avance.

Et juste avec ce #goodchoice par jour, j’ai perdu 3 à 4 kg de masse grasse et pris de la masse musculaire. En 2 mois, j’ai retrouvé ce qui serait plus ou moins mon « poids de forme », avec les performances et le taux de masse grasse qui vont avec. Pratiquement comme aux périodes où je m’entraînais le plus, disons vers 2013-2014 (vestige ici)

En vérifiant, je me suis aussi rendu compte que je n’avais dépensé qu’une quarantaine d’euros d’essence sur tout le mois d’août, vu que je me suis beaucoup plus déplacé à vélo. On est d’accord zéro euros, ce serait mieux, mais toute diminution est bonne à prendre. Le vélo m’a permis de rajouter une heure d’activité physique à chaque fois que j’ai été bosser à CrossFit Nivelles, et m’a permis de réduire mes émissions de CO2. Continue reading #GOODCHOICE : Bilan des 2 mois et ce que ça m’a appris sur les choix personnels !

Comment changer d’activité professionnelle en 5 étapes ? | Yves Patte | TEDxUNamur

Comment changer d’activité professionnelle en 5 étapes ? Nous sommes de plus en plus nombreux et nombreuses à ne plus vouloir une carrière toute tracée, dans une même entreprise ou une même administration, et à préférer une carrière faite de bifurcations, de choix successifs, au gré des opportunités qui se présentent et des passions qui nous animent.

Et si vous aussi vous osiez vous lancer dans ce projet que vous avez en tête depuis des années ? Dans cette passion qui occupe toutes vos soirées ?

Yves Patte vous présente les 5 étapes qui ont fonctionné pour lui à chaque fois qu’il a bifurqué d’une activité professionnelle à l’autre, dans son propre parcours de travailleur « nomade », de « backpack entrepreneur ».

Empowerment 101 : C’est en agissant soi-même qu’on fait changer les choses

On fait rarement changer le comportement des autres par ses mots. On le fait par ses actions. On ne fait pas changer le comportement des autres en les critiquant, en les insultant. Contrairement à ce que beaucoup de gens ont l’air de penser, traiter quelqu’un de raciste ne va pas le rendre moins raciste.

Décider d’agir soi-même, et en quelque sorte montrer l’exemple, est la voie la plus rapide et la plus efficace vers le changement de société : “Sois le changement que tu veux voir dans le monde” (et pas “écris un tweet sur le changement que tu veux voir dans le monde” ni “passe ton temps à critiquer toutes celles et ceux qui ne portent pas le changement que tu veux voir dans le monde”). SOIS LE CHANGEMENT !

Workshop “Vivre de ses projets”

Ce workshop, c’est une journée pour :

  • Se sentir prêt(e) à se lancer comme entrepreneur.euse
  • Activer le processus de transition professionnelle
  • Commencer à communiquer sur votre projet

Empowerment 101 : C’est en agissant soi-même qu’on fait changer les choses

On fait rarement changer le comportement des autres par ses mots. On le fait par ses actions. On ne fait pas changer le comportement des autres en les critiquant, en les insultant. Contrairement à ce que beaucoup de gens ont l’air de penser, traiter quelqu’un de raciste ne va pas le rendre moins raciste.

Regarder par au-dessus de la haie si son voisin trie bien ses déchets, critiquer ses collègues qui viennent au boulot en voiture, reprocher à ses amis et amies de prendre l’avion en vacances, snober celles et ceux qui mangent de la junk food… ça ne fera changer aucun comportement. Se plaindre n’a jamais rien résolu.

On fait changer les comportements pas des actes. Et uniquement par ses propres actes. Il n’y a que vous-même que vous pouvez forcer à changer, sans être un dictateur.

Faites simplement ce que vous pensez devoir faire ! Que ce soit pour votre santé, pour votre condition physique, pour votre boulot, pour votre famille, pour votre communauté, pour votre commune, pour l’environnement, pour la condition humaine, etc., peu importe. Faites-le !

Vous voulez faire quelque chose de bien pour la santé de tout le monde ? Manger naturellement, entraînez-vous, vivez sainement. Même sans dire un mot, vous aurez un impact plus grand sur votre entourage, grâce aux bénéfices pour votre santé et votre condition physique, que tous les longs discours moralisateurs que vous pourriez faire.

Vous voulez diminuer la pollution ? Commencez par vous déplacer à pied, à vélo ou en transports en commun. Même si vous êtes tout seul ou toute seule à le faire. Et cela, avant de vouloir interdire à tout le monde d’utiliser d’autres moyens de transport. Le recours à la loi, à l’interdiction généralisée, cache souvent la volonté de ne pas être seul à faire l’effort. Ca ne marche pas. C’est long. Faites l’effort. Les autres suivront. Continue reading Empowerment 101 : C’est en agissant soi-même qu’on fait changer les choses

“Lifestyle as Medicine” : pour lutter contre le diabète de type 2

Très intéressant : Hong Kong va mettre en place un programme de 6 mois pour lutter contre le diabète de type 2, basé sur 4 piliers : la nutrition, l’activité physique, le sommeil et la relaxation.

Article : https://www.scmp.com/lifestyle/health-wellness/article/3022169/type-2-diabetes-treatment-based-lifestyle-changes-set

Ce programme, appelé “Reverse Diabetes 2 Now”, a déjà fait ses preuves aux Pays-Bas. Parmi les 1500 diabétiques qui ont participé, 92% ont entièrement ou partiellement guéri leur diabète de type 2. Toutes et tous n’ont pas pu abandonner leurs médicaments, mais 50% des personnes ont pu arrêter d’en prendre, dont certains en une semaine !

Certains patients et patientes diabétiques prennent pourtant jusqu’à 8 types de médicaments pour stabiliser leur cholestérol, leur taux de glucose, leur tension, et toutes les complications liées au diabète.

On sait maintenant que le diabète de type 2 est une maladie causée par les interactions entre nos gènes et notre mode de vie. Pourtant, la plupart des médecins ne prescrivent que des médicaments, au lieu d’un changement de vie. Continue reading “Lifestyle as Medicine” : pour lutter contre le diabète de type 2

En CrossFit : pas de différences hommes – femmes

Ce vendredi, lors des CrossFit Games, Karissa Pearce a réalisé une performance extra-ordinaire : 23 rounds sur le workout “Mary “. En 20 minutes, un maximum de fois 5 handstand push-ups, 10 pistols squats, et 15 pull-ups. Elle a donc maintenu plus d’un round par minute, durant 20 minutes ! 

La performance en soi ne parlera qu’à celles et ceux qui pratiquent le CrossFit. Mais il y a un fait plus intéressant : c’est le meilleur score hommes et femmes confondus ! Noah Ohlsen et Mathew Fraser, au coude-à-coude, dans un final trépidant, font une vingtaine de répétitions de moins (ils sont dans le 22ème round).

J’en profite donc pour parler d’un point important : dans le CrossFit, il n’y a pas vraiment de différences entre les hommes et les femmes. En fait, en tant que coach, le sexe de la personne n’est pas une information très importante quand je dois coacher quelqu’un.

Je m’explique. Si on me présente quelqu’un que je devrai coacher, ça m’intéresse de savoir si cette personne a eu des blessures dans le passé, si elle a quelques limitations physiques, si elle est actuellement sportive ou plutôt déconditionnée, quels sont ses objectifs, etc. Quand la personne est devant moi, je vais regarder si ses genoux tombent vers l’intérieur quand elle squatte, si elle est capable de maintenir une bonne position dorsale en portant une charge, si elle arrive à engager sa chaîne postérieure, si elle atteint une bonne extension au niveau des hanches, si elle a une bonne mobilité d’épaule, etc. Bref, il y a 1000 choses importantes à savoir et à observer pour coacher quelqu’un en CrossFit, avant de savoir si c’est un homme ou une femme. Il n’y a que dans la période de grossesse ou de post-grossesse que c’est important. Le reste du temps, ça ne change rien. Continue reading En CrossFit : pas de différences hommes – femmes