Parution de mon article sur l’antifragilté (Néo Santé, n°75)

Nouvelle parution : “L’antifragilité. La clé de voûte de la santé”, Néo Santé, n°75, février 2018, pp.6-11. Mon article sur l’antifragilité en Une de NéoSanté Edition ! Et avec des titres assez élogieux : “la clé de voûte de la santé”, “concept qui pourrait bien révolutionner la santé”, etc… !! Je suis vraiment ravi que Néo Santé ait vu dans l’antifragilité de Taleb un concept aussi important !!

Je ne peux que conseiller à chacun de se plonger dans la lecture de l’ouvrage original de Nassim Nicholas Taleb !

Extrait : “L’antifragilité : retenez bien ce mot car il désigne un concept qui pourrait bien révolutionner la santé dans les prochaines années. Forgé par un ancien trader, statisticien et philosophe des sciences, le Libano-New-Yorkais Nassim Nicholas Taleb, ce néologisme signifie bien entendu le contraire de la fragilité. Un synonyme de robustesse et de solidité, alors ? Non pas : le propre d’un système antifragile est de se renforcer et d’évoluer positivement grâce aux difficultés et aux problèmes rencontrés.” Lire la suite dans la revue…

Conférence : CrossFit & Nutrition. Les bases d’une alimentation saine et performante

Le 2 février (20h), j’aurai la chance de parler de nutrition à Reebok Crossfit Brussels ! Une conférence qui portera sur les bases de l’alimentation (protéines, lipides, glucides, micronutriments) et de notre métabolisme.
Le but est que chacun puisse y voir plus clair, et soit capable de reprendre en main son alimentation au quotidien.

Que l’on pratique le CrossFit pour des raisons de santé ou dans une but de performances, la nutrition est la clé ! j’essaierai d’être le plus concret possible !

Adresse : Rue du Bourdon, 100. 1180 Uccle
Entrée : Membre RCFB : gratuit / Autres : 7€
Evénement Facebook : https://tinyurl.com/ycway5ya (Inscrivez-vous pour qu’on ait une idée du nombre de chaises !)

On se voit le 2 février ? 😉 Et si vous avez des questions spécifiques, n’hésitez pas à les poster en commentaire ci-dessous !!

Parution : Néo Santé, n°74, janvier 2018

Nouvelle parution : “Le passage au paléo (II)”, Néo Santé, n°74, janvier 2018, p. 24. Deuxième volet de ma série sur les premières étapes lorsqu’on se lance dans l’alimentation paléo. Le premier article préconisait de réduire le sucre et d’augmenter son apport en Omega-3. C’est fait ? Alors, l’étape suivante serait de réduire les éléments inflammatoires de votre alimentation, et c’est particulièrement les céréales qui sont visées ici ! On remarque effectivement que de plus en plus de personnes développent des réactions négatives à l’ingestion de blé. Et même parmi ceux qui ne sont pas diagnostiqués “intolérants” au gluten. L’article fait le point sur la question et montre l’intérêt de réduire les céréales.

Parution : Néo Santé, n°73, décembre 2017

Nouvelle parution : “Le passage au paléo (I)”, Néo Santé, n°73, décembre 2017, p. 24. Après avoir creusé quelques questions spécifiques, comme celle du microbiote, revenons à une vision plus généraliste de l’alimentation, avec une question que chacun est amené à se poser lorsqu’il se lance dans l’alimentation “paléolithique” : par où commencer ? La réduction de la consommation de sucres et l’augmentation de la consommation d’acides gras Oméga-3 sont les deux premières étapes qui s’imposent. C’est effectivement les deux changements qui auront le plus grand impact sur votre santé ! Suite au prochain numéro…

Parution : Néo Santé, n°72, novembre 2017

Nouvelle parution : “Microbiote et symbiose”, Néo Santé, n°72, novembre 2017, p. 24.  Dernier volet de ma série sur les bactéries qui co-évoluent avec nous depuis des millions d’années. Nous co-évoluons en symbiose : il est donc préférable d’éviter de détruire ce microbiote avec des antibiotiques à tout-va ou avec de mauvais choix alimentaires ! Je prends l’exemple de la bactérie H. Pylori, dont la présence est associée au cancer de l’estomac, mais dont l’absence est également à tout un ensemble de troubles de santé, dont l’obésité.

Parution : Néo Santé, n°71, octobre 2017

Nouvelle parution : “Des Microbiotes à l’Holobionte”, Néo Santé, n°71, octobre 2017, p. 24. Troisième volet de ma série sur milliards de bactéries qui peuplent notre corps et co-évoluent avec nous depuis des millions d’années !
 
[Holobionte] Communauté formée par une plante et les micro-organismes qui co-habitent avec elle.
 
[Extrait] :
 
“Si on s’intéresse aux gènes de l’ensemble de ces organismes, on a ce qu’on appelle l’ “Hologénome” : l’ensemble formé par nos gènes, les gènes des milliards de bactéries que nous hébergeons, et les gènes de tout ce qui nous entoure au quotidien.
 
Voilà qui donne un peu le vertige ! Nous sommes très peu de choses, au milieu de ces milliards de gènes qui interagissent à tout instant, et dont les interactions sont le fruit de milliards d’années d’évolution.”
 
C’est quelque chose de FASCINANT et l’impact sur notre alimentation et notre santé est immense ! Surtout, si on considère qu’on est en train de détruire ce microbiote, au même titre que l’environnement ou la biodiversité animale et végétale…

On ne nous fera plus avaler n’importe quoi ! (Conférence)

Un IMMENSE MERCI à toutes celles et ceux qui ont venus à la conférence du 15 septembre à CrossFit Nivelles ! Vous étiez plus d’une centaine !!

C’était la première fois que je mettais, sous forme de conférence, tout ce que j’ai écrit ces dernières années sur l’alimentation naturelle et sur la reprise en main de sa santé (#Onnenousferaplusavalernimportequoi) et je me dis déjà qu’il y a plein de chose que j’ai oublié de dire, ou que je devrais modifier !
Merci en tout cas pour votre attention !!

Le Facebook Live ne donne pas très bien à cause du manque de luminosité, on le sait pour la prochaine fois, et je vais essayer de produire une autre vidéo : https://www.facebook.com/CrossFitNivelles/videos/1671105082930786/

Merci également au chef Dany Lombart pour les délicieux plats qu’il nous a fait parvenir ! C’est cela que vous retrouverez dans les plats O-Food en préparation !!

Envie d’accueillir cette conférence sur l’alimentation ? Discutons-en : yvespatte@gmail.com

Comment la résumer en une phrase ? : “Ce qui se fait en dépit de la nature ne sied jamais bien” (Cicéron).

… D’où la nécessité de définir ce qui caractérise notre nature, et donc l’alimentation qui nous sied le mieux. Au delà de toutes les tendances/modes sur l’alimentation, mon but est de définir ce qu’est “une alimentation la plus naturelle possible”.

Parution : Néo Santé, n°70, septembre 2017

Nouvelle parution : “Equilibrer le microbiote intestinal”, Néo Santé, n°70, septembre 2017, p. 24.
Deuxième volet sur le rôle fondamental de ces milliards de bactéries qui peuplent notre corps, formant pratiquement un organe à part entière, de 1,5 kg ! Nous vivons en symbiose avec ces bactéries. Nous vivons dans la Nature, mais une partie de la Nature vit en nous, au sens le plus concret de l’expression. Le problème est que notre alimentation industrielle détruit ce microbiote. Cet article présente des recherches sur le microbiote de différents peuples africains, dont les chasseurs-cueilleurs Hadza.

Deux infos pour aller plus loin :

  • Préparation d’un livre avec Marc Bégoud, de Super7.fr, sur l’alimentation paléo !
  • Ma conférence du 15 septembre, à CrossFit Nivelles, intitulée “On ne nous fera plus avaler n’importe quoi !”. Inscrivez-vous à l’événement Facebook !

Brève réflexion sur la contamination des oeufs et le rôle de l’AFSCA

Illustration : Les Humeurs d’Oli

Dans un article de L’Echo, Philippe Baret, professeur à la faculté des bio ingénieurs de l’UCL explique : “L’Afsca (…) va avoir tendance à venir contrôler un petit producteur et à faire confiance a priori aux acteurs historiques de l’agro-industrie.

De fait :

  • l’AFSCA déverse du détergent sur des tartes faites par les habitants d’un village lors d’une fête locale… parce qu’il y a “de la poussière et des araignées”.
  • l’AFSCA fait couper une haie d’aubépines quasi centenaire pour “un risque potentiel de feu bactérien pour les vergers voisins”.
  • l’AFSCA fait interdire l’utilisation de petits fruits sauvages par une maraichère bio, parce qu’ils ne sont pas “traçables”.
  • l’AFSCA fait fermer un frigo solidaire à Namur.
  • l’AFSCA interdit à des cuisiniers de boire de l’eau en cuisine en pleine canicule.

… Mais l’AFSCA ferme les yeux sur la contamination au Fipronil, un insecticide interdit !

Observation #1 : La meilleure manière de diminuer les risques alimentaires est de favoriser une alimentation décentralisée, locale, bio, à petite échelle et ancestrale.
-> Fournir des oeufs à 100 personnes génère moins de risques que de fournir des oeufs à 100.000 personnes.
-> On a survécu des millions d’années avec des araignées, de la poussière, et des fruits non-traçables. On connaît par contre peu l’impact du Fibronil sur la santé à long terme.
-> l’AFSCA favorise le modèle alimentaire le plus risqué.

Observation #2 : l’AFSCA fait partie de ces institutions “iatrogènes”. En voulant éliminer tout risque alimentaire à coups de réglementation, l’institution favorise les grosses industries qui ont les moyens financiers et humains de répondre à toutes ces réglementations, alors même que ces grosses industries vendent majoritairement des produits de moins bonne qualité nutritionnelle, lorsqu’ils ne sont pas carrément néfastes pour la santé, et à la base de tout un ensemble de troubles de santé hautement plus dangereux : diabète, hyperinsulinémie, hypertension, athérosclérose, inflammation chronique, certaines formes de cancer, etc. Au final, Mac Do et Coca-Cola ont beaucoup moins de chances d’être pénalisés par l’AFSCA qu’un petit maraîcher bio.

La solution n’est pas dans un changement de fonctionnement de l’AFSCA. La solution est dans un nouveau modèle de société.

Article de L’Echo : http://www.lecho.be/dossier/choixredac/Philippe-Baret-UCL-L-Afsca-se-cache-derriere-ses-controles/9921482

Un lien : le groupe Facebook Protégeons nos produits artisanaux de l’AFSCA

Cherche co-rédacteur / éditeur pour une ouvrage sur l’alimentation paléolithique

Ca fait pas mal de temps que je me dis que je devrais rassembler tous les articles que j’ai publiés ces dernières années dans la rubrique Paléo Nutrition de la revue Néo Santé. Le premier date déjà de 2011 ! En tout, ça fait une soixantaine d’articles (liste ici) !

Mais je manque de temps pour me replonger dans toutes ces pages, et structurer un ouvrage cohérent. Alors, je me dis que je pourrais collaborer avec une autre personne, dont la tâche serait de se plonger dans cette grosse centaine de pages (60 articles de 2 pages A4, police 12), couper tout ce qui est inutile ou redondant, et trouver une manière de structurer tous ces articles.

Le but est d’arriver à une centaine de pages, voire 120, en format “Livre”.

Au niveau éditorial, l’idée est de mettre l’accent sur une approche globale de la santé, basée sur l’évolution, et donc forcément sur la plus longue période de notre évolution : la période paléolithique. C’est au final vers ça que je vais dans l’ensemble de ces articles : l’évolution a fait de notre corps un organisme complexe très performant pour survivre. Une approche simple et très cohérente de la santé est donc simplement de privilégier une alimentation – et plus largement un mode de vie – qui permette à notre corps de fonctionner comme il est censé fonctionner. Ca paraît bateau, mais c’est extrêmement fort – et pratico-pratique – comme approche.

Ce n’est donc ni un livre de recettes paléo (il en existe déjà plein !), ni une méthode pour perdre du poids (même si manger sainement ne peut qu’amener à perdre la masse grasse qui serait excédentaire).

Donc, je cherche un homme / une femme qui :

  • Est intéressé.e par le sujet (primordial !)
  • A une certaine connaissance de la santé, de la médecine, etc. (pas besoin d’être médecin, mais comprendre le fonctionnement du corps et être capable de lire des articles sur Pubmed serait un réel atout !)
  • A une certaine connaissance de l’édition (en soi les articles sont écrits, et je me charge de ce qu’il faudrait rajouter au niveau rédactionnel).
  • A une grosse capacité de synthèse, pour être capable d’identifier ce qu’il faut garder et ce qu’il faut couper.
  • Est sympa (parce que c’est plus gai pour bosser) 🙂

J’offre :

  • La possibilité d’être co-auteur.e d’un livre sur l’alimentation paléo.
  • Une pourcentage sur les ventes par la suite, à fixer selon une convention.

(Pour l’instant, je n’ai pas d’accord avec le moindre éditeur. On peut imaginer qu’au fur et à mesure du travail, un éditeur nous fasse une offre, et qu’on renégocie les bénéfices de chacun. Cela peut être noté dans la convention de départ).

Intéressé.e ?

Envoyez-moi un petit mail (yvespatte@gmail.com) expliquant qui vous êtes, quelle est votre expérience et à quel point vous êtes motivé.e !

Si vous avez déjà édité ou publié quelque chose, mentionnez-le !

C’est évidemment plus pratique si vous vivez en Belgique et qu’on peut se voir pour en discuter autour d’un verre, mais ce n’est pas une obligation, les moyens de communication actuels permettent de trouver la bonne personne même si elle habite loin !